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En cas de Brexit dur, la Chine et les États-Unis demandent une compensation à l'UE

12 Novembre 2018 - Editeurs Boerenbusiness

La Chine et les États-Unis (États-Unis), entre autres, menacent de tenir l'Union européenne (UE) responsable en cas de Brexit dur ou chaotique, qui perturbe gravement les échanges entre le Royaume-Uni (RU) et l'UE. Cela rapporte Business Insider.

Environ 12 pays, dont la Chine et les États-Unis, ont exprimé leurs craintes d'être moins bien lotis si le Royaume-Uni quittait l'UE. Ils réclament donc un plan d'indemnisation à Bruxelles. C'est parce qu'ils veulent s'assurer que leurs peurs ne deviennent pas réalité. Ceci est indiqué dans divers documents de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), qui sont entre les mains de l'agence de presse Bloomberg.

Certitude
Les 12 pays qui ont rédigé le document exigent de Bruxelles des certitudes quant à la manière dont la responsabilité sera rendue pour les futurs échanges entre le Royaume-Uni et l'UE. On compte sur un résultat de négociation qui assure la qualité des échanges entre les deux camps.

En particulier, les 12 pays déclarent que l'accès aux marchés est une préoccupation majeure. "Si elle ne parvient pas à maintenir l'accès aux niveaux actuels, l'UE doit fournir une compensation appropriée", ont déclaré les pays. 

Peut venir avec un accord?
La pression sur la Première ministre britannique Theresa May monte tant au sein de son propre parti que de la part de l'opposition. Les parties veulent qu'elles adaptent une proposition préliminaire de Brexit à leurs souhaits. Le Premier ministre a dû annuler une réunion d'urgence du cabinet prévue le 12 novembre parce que les partisans du Brexit au Parlement européen ont menacé de torpiller la proposition.

Au Parlement britannique, un destructeur défaite pour mai si le plan est voté en l'état. Le parti travailliste de l'opposition veut de nouvelles élections si la proposition est rejetée. Si nécessaire, le parti demandera un nouveau référendum s'il n'y a pas d'élections.

S'il n'y a pas d'accord le mardi 13 novembre, il devient moins probable qu'un sommet spécial de l'Union européenne se réunisse en novembre pour signer un accord.

Situation
Les ministres européens ont également discuté de la situation le 12 novembre. Michel Barnier a déclaré que les efforts intensifs se poursuivent, mais qu'il n'y a pas encore d'accord. La principale pierre d'achoppement reste une solution pour éviter une frontière dure entre l'Irlande et l'Irlande du Nord britannique.

Les 27 ministres ont une nouvelle fois démontré leur détermination à maintenir l'unité. En outre, ils ont souligné la nécessité de poursuivre les préparatifs en cas de no deal.

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