L'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale (PBL) a publié le calcul des plans climatiques mercredi 13 mars. Pour atteindre le CO prévu2objectifs de réduction, le secteur agricole doit allouer entre 2030 et 1 milliards d'euros d'ici 2.
Le secteur agricole est ces calculs très peu évoqué et donc pas du tout précis. Au total, 11 mégatonnes de CO doivent être produites dans les 48,7 prochaines années2 sont épargnés, mais cette épargne ne se fait généralement pas au détriment de l'agriculture. Une réduction de 1,8 à 4,6 mégatonnes est prévue pour ce secteur, où l'objectif est de 3,5 mégatonnes.
Le PBL a calculé que le CO2les économies pour le secteur agricole au cours de la prochaine décennie coûteront entre 0,9 et 1,8 milliard d'euros. Il n'y a presque aucune mention de mesures concrètes. Les économies les plus importantes proviennent de l'industrie. Une réduction de 14,3 mégatonnes doit y être atteinte, le PBL indiquant déjà que cela ne sera probablement pas atteint. Une autre probabilité est l'arrivée de CO2redevances pour ces entreprises.
Émissions de méthane et d'oxyde nitreux
Pour l'élevage, les émissions de méthane et de protoxyde d'azote sont parfois évoquées. Celles-ci devraient être réduites de 0,7 à 1,8 mégatonnes. Cela se fait par le biais de programmes existants, tels que l'investissement dans des étables à faibles émissions (Vamil/MIA). De plus, il devient acheter les droits de porc afin de réduire la population porcine et de réduire les émissions. En remarque, le PBL mentionne que cette réduction des émissions dépend largement des programmes d'incitation.
La rubrique « utilisation des sols » se concentre principalement sur la réhumidification des zone de tourbière† En matière d'utilisation des terres, une économie comprise entre 0,3 et 1 mégatonne est considérée comme possible. Selon le bureau de planification, davantage de forêts et de réserves naturelles contribuent à la réduction des émissions.
Répartition des coûts
Le poste de coût à près de 2 milliards d'euros (maximum 40 millions d'euros par an) provient principalement des modifications de l'étable, des mesures d'alimentation et de la construction d'installations de fermentation du fumier. Avec 600 à 800 millions d'euros, la plus grosse facture revient à l'horticulture sous serre.
Cependant, le PBL reste vague sur les plans détaillés pour l'agriculture. Selon leurs propres mots, c'est parce qu'une nouvelle politique du fumier et l'avenir Politique agricole commune (PAC) affectent les plans.
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Ceci est une réponse à l'article de Boerenbusiness :
[URL=http://www.boerenbusiness.nl/financieel/ artikel/10881668/climate-kost-de-landbouw-1-tot-2-billion-euro]Le climat coûte à l'agriculture 1 à 2 milliards d'euros[/url]