Afin de parvenir à une production alimentaire durable, un accord doit être conclu entre toutes les parties concernées avec un impact égal à celui de l'Accord de Paris sur le climat de 2015, déclare Berry Marttin, membre du conseil d'administration du groupe Rabobank, dans une interview. "Se mettre d'accord sur ce qui est juste et choisir la direction."
Marttin le dit dans une interview vidéo avec Dick Veerman, rédacteur en chef de Foodlog, dans le cadre du projet Food for the future de l'International Food and Business Management Association (IFAMA). Une conversation entre les entreprises, les agriculteurs, la science, les gouvernements et les ONG est absolument nécessaire, explique Marttin dans la conversation. Ce n'est qu'alors, selon lui, que les 1 XNUMX milliards d'euros mis de côté pour le Green deal bien dépensé jusqu'en 2050.
Selon Marttin, il est nécessaire que toutes les parties déterminent d'abord conjointement quels changements auront le plus grand impact sur la réduction de notre empreinte alimentaire sur la nature. Il faut cependant parler de faits et non de convictions (frames). Le Green Deal ne fonctionnera que si ces parties se réunissent, créent une compréhension commune et montrent la voie, selon Marttin.
L'interview de Berry Marttin est en anglais et peut être visionnée ci-dessous.
Cet article fait partie de la collaboration de contenu entre Boerenbusiness et Foodlog.
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