Sur la base des idées des éclaireurs précédents, rendues publiques hier (mercredi 31 mars) à la demande de la Chambre des représentants, le VVD et GroenLinks semblent se rapprocher étonnamment lorsqu'il s'agit de réduire le cheptel. Selon le VVD, la diminution du cheptel est une conséquence inévitable de l'approche azotée. Pour GroenLinks, réduire de moitié le cheptel ne semble pas être un point de rupture pour gouverner.
Les positions (basées sur des conversations et des lettres) sont formulées point par point et staccato. Chez GroenLinks, sous la rubrique 'Nitrogen', il était noté : "Avoir du bétail en deux n'est pas une question de principe, mais pas d'autre moyen que moins d'animaux." Le VVD renverse la situation : "S'attaquer aux charges de pointe, sans forcer personne, mais en encourageant. Réduire de moitié le bétail n'est pas un objectif, mais moins de bétail est une conséquence."
Le VVD précise également : "Sujet passionnant avec D66". Assez remarquablement, le résumé des positions du D66 - dont le député Tjeerd de Groot a été le premier à dire il y a 1,5 ans que le cheptel devrait être divisé par deux - ne dit pas un mot sur le cheptel. Là, il est seulement dit: "Une approche durable et durable du problème de l'azote, en partie pour pouvoir construire des maisons plus abordables, avec de bonnes installations (0V)."
Le Parti pour les Animaux s'en tient à la réduction de moitié du bétail
Le Parti pour les animaux, qui ne joue sans doute aucun rôle dans la formation, s'en tient à réduire de moitié le cheptel : « La moitié du cheptel, comment on aide les agriculteurs en transition. PVV, SP, ChristenUnie et JA21 manquent de vision sur ce sujet. Il n'y a pas d'entrée pour CDA sur aucun sujet.
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Cees Veerman, CDA, ministre de l'Agriculture dans 3 cabinets récemment dans la presse :Ceci est une réponse à l'article de Boerenbusiness :
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« La réduction du bétail est le résultat du développement, pas le début. L'élevage intensif s'arrêtera à un moment donné. Si l'Europe commence à prélever une taxe sur le CO2 sur le soja du Brésil, ils ne seront plus compétitifs. Cela arrivera un jour. C'est fou qu'ils aient coupé des arbres au Brésil pour mettre du soja dans les porcs ici.
« Le plus gros problème, c'est l'élevage laitier. Il y a du sol en dessous. Le rachat n'est pas payant. Je suis favorable à l'élevage dans lequel les vaches ne mangent que l'herbe de leur propre pâturage. Il faut amener les vaches au fourrage et non l'inverse comme c'est le cas actuellement. Le problème n'est pas : le bétail devrait être plus petit. La relation entre le sol et le nombre d'animaux doit être restaurée.
Qu'on le veuille ou non, Bruxelles, CDA, VVD, FD66, Wageningen UR, tous les signaux concernent la réduction des effectifs et la liaison au sol. Pas si mais comment et à quelle vitesse.
Bon, vous pouvez bien sûr continuer à dire que le bétail mange des déchets et donc continuer à y croire. Mais c'est un mensonge que l'industrie de l'alimentation animale aime perpétuer. La culture et la déforestation sont en grande partie dues à la demande fourragère, qui ne serait vraiment pas lucrative à cause du seul pétrole.
Nous sommes en effet passés de 2,4 millions à 1,6 million de vaches. Mar également de 10 à 15 000 kg de lait par hectare. Ce n'est pas tant la croissance de l'herbe qui compte, mais les hectares supplémentaires que nous avons mis en valeur à l'étranger. De 2,7 à 5 millions dans la même période.