LTO, en collaboration avec FrieslandCampina, Cosun, Agrifirm et Vion, a écrit une lettre à l'informatrice Mariëtte Hamer. Au cœur de ce projet se trouve une impulsion agricole spatiale de 2 milliards d’euros pour la qualité de vie dans les zones rurales. Ils préconisent également une autorité agricole pour les partenariats public-privé.
L'« impulsion agricole spatiale » est décrite comme une « rénovation » axée sur un territoire. "Pas de labour à grande échelle, mais utilisation de la technologie moderne pour apporter des améliorations petites et plus grandes dans le domaine de l'aménagement du territoire, de la gestion de l'eau et des infrastructures. Cela contribue à une meilleure capacité de revenus pour les agriculteurs et les jardiniers, ainsi qu'à la nature, à la biodiversité et aux relations sociales. objectifs ruraux", indique la lettre.
Autorité agricole pour les partenariats public-privé
Selon les parties, une coopération étroite entre le gouvernement central et le monde des affaires agricoles, appelée partenariat public-privé, est également cruciale. Ils prônent fortement le renforcement de cette forme de coopération à travers une autorité agricole. Il s’agit d’une plateforme dans laquelle le gouvernement et l’agro-industrie néerlandaise peuvent travailler ensemble sur une base d’égalité.
Les partis en formation sont également appelés à travailler rapidement à l’introduction du climat fiscal et de la réserve en cas de catastrophe. Cette réserve devrait permettre aux entrepreneurs agricoles de constituer des réserves financières pour absorber les perturbations climatiques et de marché tout en bénéficiant de temps meilleurs. Il est également préconisé de créer un fonds de risque qui supporterait les coûts si une transition proposée (socialement souhaitable) s'avère différente de celle prévue dans le modèle économique initial.
Pas de politique rigide jusqu’à la dernière décimale
Les auteurs de la lettre souhaitent également plus de liberté pour atteindre leurs objectifs au lieu d'une « politique rigide prescrite jusqu'à la dernière décimale ». Selon eux, il est très important que, dans les années à venir, nous nous concentrions sur le développement de paramètres cibles mesurables pour des entreprises et/ou des parcelles individuelles. "Ensuite, une surveillance uniforme au niveau de l'entreprise devrait être choisie. La priorité est accordée aux systèmes de capteurs et de données pour les émissions à un niveau stable, à la transition vers des engrais circulaires verts et à des paramètres uniformes pour les émissions en dehors du champ et la biodiversité dans le champ."
La lettre appelle également à une coopération encore plus forte entre le gouvernement et le monde des affaires pour informer les consommateurs, fixer des normes et garantir que les Pays-Bas soient assurés d'un approvisionnement alimentaire de haute qualité. Ils estiment également que les consommateurs au niveau européen devraient être clairement informés de l'origine du produit et de la manière dont il a été créé.
La taxe européenne sur le CO2 est bénéfique pour les agriculteurs néerlandais
Après tout, les lobbyistes pensent également qu’une taxe sur le CO2 au niveau européen pourrait profiter au secteur agricole néerlandais, car les agriculteurs et les jardiniers néerlandais satisfont déjà largement à de nombreuses exigences en matière de durabilité.
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