Les agriculteurs, les entreprises et les organisations de protection de la nature reçoivent automatiquement une partie des sièges au conseil de l'eau, les sièges garantis. Après les vacances d'été de la Chambre des représentants, GroenLinks et D66 soumettront un projet de loi d'initiative parlementaire pour changer cela.
Les deux partis estiment que la gestion de l'office de l'eau devrait être plus démocratique et veulent donc se débarrasser des sièges garantis. Tout le monde a un intérêt dans la gestion de l'eau et c'est pourquoi le vote de chacun devrait avoir le même poids, c'est leur pensée. Selon l'émission de télévision Nieuwsuur, le PVV, le PvdA, le SP, le PvdD et le JA21 sont également favorables à la suppression des sièges garantis.
De bons arguments pour des places sécurisées
Le rapport consultatif est sorti en juin 2020 lesté sécurisé d'un comité consultatif mis sur pied par le gouvernement. Pour la catégorie des entreprises, le comité s'interroge sur la justification des sièges sécurisés.
Mais le rapport indique également que les sièges sécurisés pour les zones non bâties et naturelles peuvent être bien étayés. Les deux ont une position foncière forte et dépendent d'une bonne gestion des eaux souterraines pour leur fonctionnement. Ils apportent également une contribution importante à la gestion actuelle et future de l'eau, par exemple en tant que zones de rétention, de rétention d'eau douce et d'élévation du niveau des eaux souterraines. De plus, l'Office des eaux doit souvent disposer de terres agricoles pour réaliser des projets (comme l'entretien des fossés).
Néanmoins, le comité a recommandé que le système de sièges garantis au sein du conseil des eaux soit aboli. Même sans les sièges sécurisés, leurs perspectives peuvent prendre tout leur sens au bord de l'eau. Cora van Nieuwenhuizen, ministre des Infrastructures et de la Gestion de l'eau, n'a pas encore pris de décision sur ce rapport, mais la Chambre des représentants prend désormais l'initiative. Les députés Laura Bromet et Tjeerd de Groot estiment que les agriculteurs ont désormais trop de pouvoir au sein des offices des eaux.
Les offices des eaux ne politisent pas
LTO Nederland plaide en faveur du maintien des sièges sécurisés car ils garantissent une pondération équilibrée des intérêts dans les water boards. "Notre modèle de polder de renommée mondiale a ses origines dans les water boards", explique Tineke de Vries, titulaire du portefeuille Soil & Water chez LTO Nederland sur le site. "Une politisation plus poussée de la gestion des offices de l'eau n'est pas dans l'intérêt des citoyens, des entreprises, des agriculteurs ou des gestionnaires de la nature. La perte d'expertise et de connaissances spécialisées sur la zone agricole locale ne l'est pas non plus. Les sièges sécurisés doivent rester."
Au sein de l'Union des régies de l'eau, il existe une division sur la question, par exemple, l'organisation a brief informer le ministre. Pour certains administrateurs des régies de l'eau, le système de sièges sécurisés est inextricablement lié à la gestion fonctionnelle des régies de l'eau. Parce que la nomination des membres aux sièges garantis se fait par un processus public, auquel tout le monde peut participer, les promoteurs se demandent quel problème sera résolu par l'abolition de ce système.
Une autre partie des administrateurs de l'Office des eaux trouve que le système actuel n'est plus adapté à cette époque et estime que les sièges sécurisés sont antidémocratiques et difficiles à expliquer. Ils sont en faveur d'un système dans lequel tous les administrateurs sont directement élus par le citoyen.
© DCA Market Intelligence. Ces informations de marché sont soumises au droit d'auteur. Il n'est pas permis de reproduire, distribuer, diffuser ou mettre le contenu à la disposition de tiers contre rémunération, sous quelque forme que ce soit, sans l'autorisation écrite expresse de DCA Market Intelligence.
Ceci est une réponse à l'article de Boerenbusiness :
[url = https: // www.boerenbusiness.nl/agribusiness/article/10893230/boerenzetels-stand-op-de-tocht-bij-waterschappen]Les sièges des agriculteurs sont en jeu aux offices des eaux[/url]
Je ne crois pas que le LTO ait eu l'idée de donner plus de pouvoir à d'autres parties au sein de l'office des eaux. C'est plutôt la société qui décide qui paie.
Je ne crois pas que le LTO ait eu l'idée de donner plus de pouvoir à d'autres parties au sein de l'office des eaux. C'est plutôt la société qui décide qui paie.
jantje a écrit :qui paye, qui détermine, beau principe, mais est-ce que quelqu'un sait quel est le rapport entre la contribution Agro/ et le reste ?Je ne crois pas que le LTO ait eu l'idée de donner plus de pouvoir à d'autres parties au sein de l'office des eaux. C'est plutôt la société qui décide qui paie.
jk a écrit :Qui paie est déterminé dans la loi sur l'Office des eaux. À l'heure actuelle, les agriculteurs sont légalement tenus de contribuer un certain pourcentage du budget.jantje a écrit :qui paye, qui détermine, beau principe, mais est-ce que quelqu'un sait quel est le rapport entre la contribution Agro/ et le reste ?Je ne crois pas que le LTO ait eu l'idée de donner plus de pouvoir à d'autres parties au sein de l'office des eaux. C'est plutôt la société qui décide qui paie.
Changer le contrôle sans tenir compte de cette obligation de paiement entraînera pour les derniers agriculteurs restants des obligations de paiement disproportionnées.