À l'intérieur : Marché de la pomme de terre

La confusion sur le marché physique ne permet pas au marché à terme d'augmenter

9 mai 2017

Le prix des pommes de terre gratuites a augmenté rapidement ces derniers jours. Après que Belgapom ait augmenté de 25 pour cent à 25 euros vendredi dernier, le marché physique a bien démarré lundi.

Souhaitez-vous continuer à lire cet article ?

Devenez abonné et obtenez un accès instantané

Choisissez l'abonnement qui vous convient
Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

Le marché physique en mouvement
La demande de pommes de terre a augmenté principalement grâce au commerce. Cela était dû en partie à d'autres rapports faisant état de froids persistants et d'un nouveau retard de croissance des pommes de terre de primeur.

Selon les dernières données obtenues par Boerenbusiness, les pommes de terre présentent désormais un retard de croissance de 19 jours. C'est à comparer à la moyenne sur 5 ans de cette semaine. Cela doit être utilisé pour combler d’autres lacunes. Comme on le sait, les stocks sont très réduits compte tenu de la disponibilité des pommes de terre gratuites. La demande de pommes de terre fait donc rapidement exploser le marché.

Les friteuses hollandaises semblent avoir leur inventaire de travail en ordre

Réaction du marché à terme
L'évolution du règlement en espèces est importante pour le marché à terme. Il est très important d’observer l’évolution des citations. Pas mal de choses physiques ont été faites cette semaine. Il est frappant de constater que ce sont principalement les commerçants qui sont devenus acheteurs. Les industries néerlandaises des puces ne communiquent pratiquement pas, voire pas du tout, sur le marché et indiquent qu'elles sont bien couvertes.

Belgique
On peut observer davantage de troubles en Belgique. Cette semaine, ils se négociaient à 30 euros sans frais (Bintje et Fontane). Mais le mardi 9 mai au matin, la cotation gratuite a eu lieu à 26,50 euros. L'étroitesse du marché, les obligations entre producteurs et acheteurs basées sur les cours boursiers ou les prix de règlement en espèces, font que le marché est devenu moins transparent. Cela rend également le marché très irrégulier. Cela rend les acheteurs sur le marché à terme prudents et la devise semble être : d'abord voir, puis croire.

Avec la publication de la cotation du PCA, les réticences sont revenues sur le marché à terme. Celui-ci est rapidement passé d'un sommet à 29,50 euros au point le plus bas de la journée et a également clôturé à 28,20 euros. Le marché physique détermine et donc le marché à terme se perd. Du moins, c'est à cela que cela ressemble. Quoi qu’il en soit, force est de constater que la vieille moisson est loin d’être terminée et que le dernier chapitre n’est pas encore écrit.

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login