Les choses allaient si bien au Canada. Avec de bonnes conditions de croissance et une faible pression de maladie, mais des pluies extrêmes à la fin du mois de juin ont emporté plus de 400 hectares (1.000 XNUMX acres) dans une zone de culture de pommes de terre en Ontario.
Les dégâts causés par les précipitations excessives des 22 et 23 juin deviennent de plus en plus évidents, selon les rapports. AGCanada. Les districts d'Orangeville et de Beeton ont été les plus durement touchés avec 139 mm (5.5 pouces) et 89 mm (3.5 pouces) de pluie. De nombreuses autres zones de culture ont également reçu entre 25 et 100 mm, tandis que d'autres endroits ont dû se contenter d'un pouce de précipitations et les producteurs se sont plaints de la sécheresse.
Déformations, fissures de croissance et creux
Les fortes pluies poseront encore de nombreux problèmes, notamment le lessivage de l'azote, le phytophthora, la jambe noire, la pourriture humide des tiges et un risque élevé de problèmes de qualité. Les producteurs doivent tenir compte des tubercules déformés, des fissures de croissance et des creux.