Après que l'Institut royal météorologique de Belgique a déclaré le printemps dernier un temps exceptionnellement sec, le système officiel peut être activé pour vérifier si les agriculteurs concernés peuvent prétendre à une indemnisation. Lorsque plus de 1,24 million d'euros de dégâts sont constatés, le gouvernement qualifie cela de catastrophe officielle. C’est la seule manière pour les entreprises d’être éligibles à une compensation.
Les mois d'avril, mai et juin ont été qualifiés d'exceptionnels par le RMI. C'est un mot rédempteur pour les agriculteurs et les municipalités. Ils ont jusqu'au 8 septembre pour signaler les dégâts. Les municipalités doivent alors fournir une détermination provisoire à la commission des dommages, écrit Se sentait. Les agriculteurs doivent prendre l'initiative eux-mêmes, mais la municipalité se chargera de la mise en œuvre finale. Une estimation définitive de la récolte est réalisée juste avant la récolte.
Catastrophe agricole ou pas ?
Après avoir reçu l'estimation des dommages, l'administration agricole flamande évalue le montant total des dommages. Si ce montant dépasse 1,24 million d'euros, la situation est qualifiée de catastrophe agricole. Le montant moyen des réclamations par dossier doit également être de 5.580 30 € et le produit doit être inférieur d'au moins XNUMX % à la moyenne.
La Wallonie est aussi sèche
La Flandre occidentale a l'honneur douteux d'être la région la plus sèche de Belgique, mais le RMI estime également que dans 259 des 262 communes wallonnes, le printemps a été trop sec. Selon le ministre flamand de l'Agriculture Schauvliege, environ 150 communes de Flandre ont été touchées par la sécheresse. En Wallonie aussi, les dégâts sont désormais évalués par les agriculteurs et les experts. Le même délai s’applique à eux.
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Les Pays-Bas bénéficient désormais également de précipitations suffisantes dans les zones sèches. Il reste exceptionnellement sec en Belgique.
Rendement en pommes de terre 7 % inférieur
L’année 2016 a également connu de nombreux extrêmes en Belgique. En fin de compte, cette année n’a pas été reconnue comme une catastrophe agricole. Bureau SPF Economie publié Chiffres du 24 juillet sur les rendements finaux des cultures. Cela montre que le rendement des pommes de terre est inférieur de plus de 7 %. La récolte de blé est même inférieure d'un quart. Celles de l'orge 19 % et des betteraves sont récoltées 10 % en moins.
Le rendement moyen des pommes de terre de conservation destinées au stockage est calculé à 38,78 tonnes par hectare. C'était 48 tonnes par hectare un an plus tôt et même 2014 tonnes par hectare en 52,64. Les plants de pommes de terre ont en fait obtenu des résultats plus élevés en 2016. Les pommes de terre de primeur ont donné en moyenne 5,5 tonnes par hectare de moins par rapport à la récolte de 2015. La récolte totale belge destinée aux pommes de terre de stockage s'élève donc à un peu plus de 3 millions de tonnes sur 77.553 hectares.
Allemagne beaucoup de pluie
Les agriculteurs belges ont également reçu peu de pluie en juillet. Les précipitations ont diminué, notamment le long de la frontière avec les Pays-Bas. Là, le compteur dépasse les 90 millimètres, alors que le long des côtes, il n'est parfois que de 20 millimètres.
Il fait sec aussi en Wallonie, et ce n'est guère mieux de l'autre côté de la frontière française. L’Allemagne a montré un tableau différent tout au long de la saison agricole. Il pleut à nouveau beaucoup là-bas maintenant. Des précipitations suffisantes sont tombées dans les principales zones de culture de pommes de terre et d'autres sont prévues.
L'Allemagne a été bien approvisionnée en précipitations tout au long de la saison. Surtout dans les zones importantes de culture de pommes de terre. Il y a également suffisamment de précipitations maintenant.