À l'intérieur : Marché de la pomme de terre

La Belgique, troisième souriante sur le marché des chips

23 janvier 2018 -Niels van der Boom

L'industrie belge des chips est devenue la troisième au Brésil. Les Pays-Bas continuent de perdre du terrain et ils en profitent grandement. La Turquie n'est plus en mesure d'étendre sa position d'exportation. Une nouvelle concurrence se cache en Europe.

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Il y a près d'un an, en février 2017, le Brésil a introduit une taxe antidumping sur les frites en provenance des Pays-Bas, de Belgique, d'Allemagne et de France. Cela a mis l’importation de produits à base de pommes de terre en suspens. Notre industrie a été durement touchée par une taxe élevée, ce qui a rendu difficile le maintien de sa position d'exportation.

349

mille

tonnes de frites importées du Brésil en 2017

Demande stable
Sur l’ensemble de l’année 2017, les chiffres des importations brésiliennes de frites et autres produits surgelés à base de pommes de terre montrent que le volume s’est stabilisé. Les Brésiliens ont augmenté leurs importations, notamment en décembre. Le volume financier converti a augmenté principalement en raison d'un volume plus élevé de frites. Le volume des exportations pour 2017 s'élève à 349.000 346.000 tonnes, contre 2016 293.000 tonnes en 2015 et XNUMX XNUMX tonnes en XNUMX.

Le Brésil a importé près de 34.000 200410 tonnes de produits surgelés à base de pommes de terre en décembre, relevant de la catégorie HS 2,5 (principalement des frites). Il s’agit d’un recul de 2016% par rapport à décembre 3. Il s’agit néanmoins du quatrième chiffre mensuel le plus élevé de l’histoire du pays. L'importation a une valeur de 27,5 millions d'euros. Pour l'ensemble de l'année 2017, la valeur des exportations de frites s'est élevée à 293,8 millions d'euros (1 milliard de réals brésiliens). Cela représentait 2016 millions d'euros en 291,2. Il convient de noter que les exportations ont été nettement plus élevées en 2016 en raison des Jeux Olympiques.

Belgique
Au cours du dernier mois de l'année, la Belgique a plus que doublé le volume de frites en tonnes de produit et en valeur monétaire. Cela se fait principalement au détriment de la Turquie, qui est en hausse au Brésil. L'industrie néerlandaise continue de perdre du terrain. L'Argentine, pays voisin, constitue un facteur stable dans les chiffres des importations.

La Belgique a enregistré la plus forte augmentation de l'offre en décembre, avec 124 %. La Turquie et les Pays-Bas sont tous deux nettement négatifs avec respectivement 55 % et 44 %. La France affiche également un déficit significatif avec 45 %. Les États-Unis sont le seul pays à avoir réussi à accroître considérablement sa position. Les frites les plus chères sont vendues en Argentine. La Belgique lutte contre les prix et se situe au même niveau le plus bas que la Turquie en décembre. Le prix est presque la moitié de ce que demandent les vendeurs argentins.

L'Europe en profite
Comme nous l'avons mentionné, la taxe antidumping garantit que les pays européens exportateurs sont particulièrement mis à l'écart. L’UE-4, à l’exception de la Belgique, perd le contrôle du pays sud-américain et les petits acteurs ont leur chance. Ce dernier, que ce soit ou non comme une marionnette des grands acteurs. On retrouve par exemple la Pologne dans la liste avec 4.000 3.500 tonnes de frites et également le Royaume-Uni avec 8.800 7.800 tonnes. Si l’on convertit cela en pourcentage, les exportations augmentent de XNUMX XNUMX % pour la Pologne et de XNUMX XNUMX % pour le Royaume-Uni. Un petit avantage pour les Britanniques est que la livre sterling est favorable par rapport à l'euro et au dollar.

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