intérieur Pommes de terre

La culture belge de la pomme de terre rencontre la résistance française

14 Augustus 2018 -Niels van der Boom - Commentaires 4

Dans le nord de la France, on constate une résistance croissante aux agriculteurs belges qui cultivent des pommes de terre de l'autre côté de la frontière. Les agriculteurs français parlent de concurrence déloyale et de constructions illégales lors de la location de leurs terres.

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Les agriculteurs français et les producteurs de pommes de terre observent avec méfiance que de plus en plus de collègues belges traversent la frontière entre la Wallonie et le nord de la France. Ils peuvent louer des terres à un prix relativement bas, alors que leur propre zone de culture est souvent rare. Selon les Français, jusqu'à 100 kilomètres sont parcourus pour louer un terrain.

Stockage des pommes de terre
Plus de 20 agriculteurs français spreken ont exprimé leur mécontentement à la radio France Bleu. Un commerçant belge qui construit un hangar de stockage près de Valenciennes, à quelques kilomètres de la frontière belge, est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Ils parlent d’une explosion de la culture de la pomme de terre, alimentée par la croissance rapide de l’industrie de la pomme de terre.

2.000

euro

Les agriculteurs belges paient le maximum pour la terre par hectare

Il y a 5 ans, alors que les prix du lait et de la viande étaient au plus bas, les agriculteurs français étaient impatients de louer leurs terres. Des revenus de 700 à 800 € par hectare étaient normaux. Cependant, les locataires des terres paient des prix compris entre 1.200 2.000 et XNUMX XNUMX euros par hectare. Selon les agriculteurs français en colère, dont on ne parle plus, les Belges sont soutenus financièrement par les transformateurs de pommes de terre pour pouvoir payer de tels prix.

Location illégale
L'association des agriculteurs locaux qualifie la location des terres d'illégale. Dans de nombreux cas, il s’agit de terrains loués par le propriétaire français. La sous-location n'est pas autorisée, à condition que le terrain soit propriétaire. Le porte-parole Antoine Jean parle d'une ambiance taboue. Les propriétaires ne se plaignent pas, les revenus sont essentiels aux revenus de leur entreprise.

Les Français ont cependant davantage à dire. Par exemple, les Belges n'utiliseraient pas de plants de pommes de terre certifiés, utiliseraient des produits phytosanitaires interdits en France et bénéficieraient d'autres avantages (comme des horaires de travail plus longs pour leur personnel).

"Les Français sont satisfaits"
Interrogé, Romain Cools, secrétaire de Belgapom, a déclaré qu'il n'avait aucune idée d'éventuelles frictions entre les deux pays. "Ce que je sais, c'est que les producteurs français sont plutôt satisfaits de leur coopération avec l'industrie belge de transformation des pommes de terre et des légumes. Je doute fortement du non-respect des dispositions légales."

« Les Français sont l'un des rares pays d'Europe occidentale à ne pas encore disposer de leur propre système de qualité certifié, comme Vegaplan ou VVAK (Food and Feed Safety Arable Farming). Les usines contrôlent strictement la certification. Cela vaut également pour l'obligation d'être certifié pour utiliser des plants de pommes de terre et des plants de pommes de terre de ferme.

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