Shutterstock

intérieur Pommes de terre

Les récoltes canadiennes peinent en raison d'un automne pluvieux

12 Novembre 2018 -Niels van der Boom - Commentaires 2

Les producteurs de pommes de terre de l'île canadienne de l'Île-du-Prince-Édouard sont aux prises avec un automne extrême. La saison de croissance a déjà été irrégulière et la récolte est désormais entravée par des précipitations excessives. Début novembre, une zone importante est encore en terre.

Souhaitez-vous continuer à lire cet article ?

Devenez abonné et obtenez un accès instantané

Choisissez l'abonnement qui vous convient
Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

L'Île-du-Prince-Édouard, également appelée Île-du-Prince-Édouard, est la région productrice de pommes de terre la plus importante et la plus vaste au Canada. La superficie en 2016 était d'environ 33.700 20 hectares. Cela signifie que les pommes de terre couvrent environ XNUMX % de l’ensemble des terres arables de l’île.

La récolte en novembre est inouïe
Le PEI Potato Board estime que 5.260 15 hectares doivent encore être défrichés d’ici début novembre. Cela représente plus de 50 % de la superficie totale, d'une valeur de 60 à 50 millions de dollars canadiens. La raison en est le mois d’octobre extrêmement humide. Les producteurs de pommes de terre n’ont pas connu quelque chose d’aussi extrême depuis 6 ans ; Octobre n'a connu que 165 jours sans pluie, avec une pluviométrie moyenne de XNUMX millimètres.

Les producteurs qui sont obligés de rester immobiles avec leurs machines aident leurs collègues là où la récolte peut avoir lieu. Il s’agit d’extraire le plus possible du sol. En plus des précipitations, les basses températures n’aident pas non plus. Les agriculteurs de grandes cultures sont particulièrement préoccupés par les récoltes de novembre, car les dégâts causés par le gel constituent un réel problème.

Le PEI Potato Board affirme qu'environ 80 % des pommes de terre de l'île sont assurées. Toutefois, cela ne change rien au fait que les producteurs sont confrontés à des pertes importantes, car l'assurance récolte ne couvre pas l'intégralité des coûts de culture, rapporte le rapport.

Chutes de température
Le printemps était déjà difficile pour les producteurs de l’île. La saison a démarré tardivement à cause de la pluie et du froid. S’en est suivi un été sec, qui a rendu la croissance loin d’être idéale. De basses températures sont attendues dans la capitale provinciale, Charlottetown (maximum 2 degrés Celsius le jour et jusqu'à -7 degrés Celsius la nuit). Cependant, on s'attend à moins de pluie, ce qui signifie que le gel constitue désormais le plus gros problème pour les producteurs.

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login