Même si nous ne sommes qu'à la mi-février, le printemps semble déjà avoir pris le dessus parmi les acteurs du marché à terme.
Cette baisse, provoquée par la baisse des commandes libres et des liquidations sur le marché, est assez exagérée par rapport au règlement en espèces actuel (31,60 €). Il reste donc inhabituel que les anticipations sur le marché à terme, en cas de pénurie numérique, s'expriment négativement.
Messages sur le printemps
Les ventes sur le marché à terme de la pomme de terre sont en partie liées aux prévisions météorologiques du printemps. Les producteurs qui ont attendu pour protéger leurs pommes de terre cherchent désormais à se couvrir via le marché à terme. Les acheteurs souhaitent également réduire leur position et ont déjà tenté de le faire à partir de 33 €. Ce faisant, ils ont (rétrospectivement) plafonné le marché à terme. Le manque de nouveaux acheteurs et de hedgers désireux de reconquérir leur position a fait le reste. En conséquence, le marché à terme a clôturé mercredi 13 février à 31,20 €, avec un chiffre d'affaires de 197 contrats.
Au milieu de l'ancienne récolte et des troubles du printemps, le prix de la nouvelle récolte chute également à 16 €, même si historiquement cela reste un prix correct pour cette période de l'année. De nombreux producteurs ont attendu que l'on sache clairement ce que prix du contrat ferait l'affaire et si le marché à terme serait donc une bonne alternative pour gérer les risques de prix.
Prix du contrat
Il est désormais clair que prix du contrat des transformateurs néerlandais ne dépassent pas 16 €, les producteurs choisissent de se couvrir via le marché à terme. Le début du printemps a également une influence. Les rapports faisant état d'une limitation de la superficie due à la diminution du nombre de plants de pommes de terre ne soutiennent actuellement pas cette hypothèse.
De nombreux transformateurs, commerçants et producteurs ont des doutes quant à la limitation de la superficie en raison de la disponibilité limitée de plants de pommes de terre. Historiquement, la disponibilité des plants de pommes de terre n’a jamais conduit à une limitation des superficies. La créativité pour résoudre ce problème se trouve donc principalement à l’étranger.