Les chiffres des stocks français de frites et de pommes de terre de table montrent que le pays ne dispose pas de stocks de pommes de terre extrêmement faibles ; Les usines de frites notamment peuvent encore se tourner vers la France pour leurs matières premières. Est-ce le secret des transformateurs pour combler le délai jusqu'à la nouvelle récolte ?
Début mars, l'organisation des producteurs français de pommes de terre UNPT a réalisé une mesure de stock auprès de ses adhérents. Cela montre qu'à cette époque, 1,25 million de tonnes de pommes de terre de consommation étaient en stock. Il s'agit du stock le plus bas depuis 10 ans.
Fortes exportations de pommes de terre
Le volume des pommes de terre de table, en particulier, est très faible (370.000 7 tonnes), ce qui n'est jamais arrivé auparavant. La récolte française de pommes de terre a également été plus faible l'année dernière, mais avec une baisse de 5 %, elle n'a pas été aussi désastreuse que dans le reste de l'UE-10. Comme la France était la seule à disposer de produits suffisants (de bonne qualité), on en exportait beaucoup. Ce volume est supérieur de XNUMX %, ce qui se reflète clairement dans les chiffres des stocks.
Selon les chiffres d'exportation les plus récents, au 1er février, plus de 12 millions de tonnes de pommes de terre ont été exportées au cours des 2 derniers mois. Cela représente une augmentation de 14% par rapport à la période précédente, ce qui représente 250.000 10 tonnes. Après l'Espagne, la Belgique est le plus gros client avec une part de 205.500% (XNUMX tonnes).
Plus de pommes de terre frites
Le stock de pommes de terre frites, en revanche, n'est pas extrêmement faible : 885.000 2012 tonnes. Lors des saisons 2013/2016 et 2017/1, ce volume était encore plus faible au 850.000er mars, avec un minimum de 2017 234.000 tonnes. Cependant, la différence avec la récolte abondante de XNUMX est importante, qui s'élève à XNUMX XNUMX tonnes.
Alors que le marché des pommes de terre de table a bénéficié d’une forte demande et de prix à l’exportation élevés, la situation a été différente pour les pommes de terre frites. Les transformateurs travaillent depuis longtemps sur les pommes de terre de l'ancienne récolte et, au début de la nouvelle saison, ils ont d'abord transformé de nombreuses variétés alternatives et lots problématiques. Les usines belges notamment ont acheté gratuitement des pommes de terre en France.
Pas grand chose à vendre librement
Le volume des lots pouvant être vendus librement est très faible ; avec les variétés de table, mais surtout avec les pommes de terre frites. Les transformateurs attendent le plus longtemps possible avant de collecter des envois de haute qualité. Pour le petit reste de produit gratuit, les producteurs français utilisent la stratégie « la mort ou le glaïeul ». Ils espèrent bénéficier d’une pointe de prix dans les 3 prochains mois.