Le marché de la pomme de terre connaît une dynamique ascendante. Après plusieurs semaines de tendance à la baisse, principalement provoquée par la Belgique, le marché de la pomme de terre présente à nouveau un potentiel de hausse.
La cote de Belgapom est restée inchangée pour la troisième semaine consécutive vendredi 26 avril, même si elle a envoyé un signal en enregistrant un vote fixe pour Fontane et Challenger. Le ton est également plus ferme sur le marché néerlandais de la pomme de terre, principalement en raison de la demande des destinations d'exportation. Cependant, l'industrie de transformation montre encore peu d'intérêt en matière d'achat, même si le Indice DCA PAT on constate déjà une reprise avec une transaction de 29,50 € pour Fontane.
Offre mince
Il est frappant de constater que l’offre semble très limitée, compte tenu de la demande croissante. Il y a peu de lots gratuits disponibles, ce qui rend l'achat de pommes de terre (à tout niveau) une tâche difficile. Avec le affwikkeling du contrat d’avril 2019, le marché semble également se débarrasser quelque peu du joug. Le contrat de juin 2019 a immédiatement affiché un mouvement à la hausse le vendredi 26 avril et avait une position de clôture de 30,50 € pour 100 kilos.
Le marché des pommes de terre de table prend également de l’ampleur, ce qui indique un marché stable. La demande d’exportation est large et un besoin évident se fait sentir en Europe de l’Est et du Sud. Par exemple, des lots de Fontane ont déjà été négociés à l'export cette semaine pour 32,50 € les 100 kilos, départ exploitation. Les bintjes adaptés à l'exportation semblent également se rapprocher sans problème du niveau des 30 €. Cela contraste fortement avec les 20 € cotés en Belgique.
Les travaux du printemps sont presque terminés
Les travaux de printemps sont presque terminés, les plants de pommes de terre semblent largement disponibles et les pommes de terre de primeur ont légèrement pris du retard en raison du froid. Il n’est pas clair si la sécheresse aura également un impact sur ce point. Quoi qu'il en soit, les vieilles récoltes se conservent bien avec les températures nocturnes actuelles, ce n'est donc pas de là que viendra « l'approvisionnement indispensable » pour le moment.