Tous les commerçants et transformateurs du marché de la pomme de terre attendent avec impatience la fin de la saison. Cela a été une saison (courte) et difficile pour beaucoup. Cependant, l’accord final intense et attendu ne semble pas se produire.
Il n’y a presque plus de libre-échange. Les transformateurs de pommes de terre néerlandais remplissent leurs obligations de réception et paient entre 30 et 32 euros pour les kilos de co-livraison. Il existe actuellement de nombreuses plaintes concernant la qualité de la pâtisserie. C'est une chose à laquelle les producteurs s'attendaient, compte tenu de la saison de croissance particulière et du fait qu'il existe de nombreuses pommes de terre physiologiquement plus âgées.
Période de transition
Les transformateurs de pommes de terre néerlandais se concentrent désormais sur la transition vers les semaines 28 et 30. Les transformateurs belges visent même une transition encore plus précoce. Cette semaine, on se négociait encore en Belgique à 31 € (sans frais), mais il y a actuellement peu d'intérêt à l'achat. Les transformateurs semblent un peu plus sereins, en partie grâce au bon développement des variétés précoces de pommes de terre.
Des précipitations suffisantes sont tombées en Belgique et en Allemagne et les producteurs affirment que la croissance est bonne. La superficie en pommes de terre de primeur a considérablement augmenté, notamment en Belgique, car les producteurs voulaient répondre à la pénurie attendue de la saison écoulée.
Entretien précoce
Une autre stratégie en partie utilisée par les transformateurs de pommes de terre consiste à effectuer un entretien supplémentaire et à livrer des frites à partir de stocks congelés. Les transformateurs veulent aborder la nouvelle saison avec le stock de frites le plus bas possible, car des frites coûteuses au réfrigérateur ne sont pas souhaitables pour le bilan.