Le contrat d'avril 2020 sur le marché à terme de la pomme de terre est devenu nerveux en raison de l'apothéose vers les semaines à venir. Cela se traduit par une forte volatilité.
La situation sur le terrain se détériore de semaine en semaine. Cependant, le marché ne semble pas (encore) vouloir franchir la barre des 17 euros. Quelle est la différence avec la saison dernière ?
Le prix peut-il augmenter ?
Cependant, il existe également un certain nombre de facteurs qui peuvent également garantir un prix de marché plus élevé cette saison :
Déficit de précipitations
Le déficit de précipitations est nettement inférieur à celui de l’année dernière, même si les déficits d’humidité des sols ne sont pas encore suffisamment résolus. Les producteurs rapportent que le sol est (très) sec, notamment dans l'est des Pays-Bas. Les cultures montrent déjà des signes de sécheresse. Cela s'applique également aux zones de culture du nord et de l'est de l'Allemagne. Plus à l’est (par exemple en Pologne), l’été est également très dur, principalement en raison d’un temps chaud et sec persistant.
Pour le vendredi 5 juillet, la météo indique que dans les 14 prochains jours
aucune précipitation significative ne tombera. La crainte de précipitations dans la période à venir rend les spéculateurs particulièrement prudents et capricieux dans leurs transactions.
Le marché recherche
Le marché de la pomme de terre attend confirmation de la sécheresse persistante et de la perte de rendement qui en découle. Alors que par le passé le marché à terme voulait parfois anticiper d'éventuelles pénuries, le credo semble désormais être le même ; voyez d’abord, puis agissez en conséquence.