Une quantité record de pommes de terre de consommation n'a pas encore été récoltée aux Pays-Bas. Les activités de récolte sont donc considérablement en retard sur celles des autres pays européens. Aviko Potato a calculé cela.
Si l’on compare le graphique actuel d’Aviko Potato (semaine 42) avec celui de la semaine 40, une image remarquable devient visible. Aux Pays-Bas, les progrès de la récolte ont augmenté d'environ 15 %, mais dans les pays qui nous entourent, les producteurs de pommes de terre ne sont pas restés les bras croisés. Les progrès de la récolte sont également en retard par rapport aux années précédentes, mais beaucoup plus de travail a été fait.
Les Pays-Bas sont à la traîne
Selon les données d'Aviko, environ 27 % des pommes de terre consommées dans notre pays ont été récoltées. La France suit ensuite, avec un peu moins de 50 %. Au Royaume-Uni, malgré toute l'humidité, la moitié aurait déjà été récoltée. La Belgique est estimée à 60 %, l'Allemagne et la Pologne, plus sèches, à 75 % et 70 % respectivement.
Il est exceptionnel que si peu de terrain ait été défriché si tard dans la saison. Cela ne s'est pas produit au cours des 4 dernières années. Le pourcentage de larves moyen sur la période 2015 à 2018 est de 80 %. Si l'on fouille dans les archives, l'année de récolte 2010 apparaît. Cependant, beaucoup plus avait déjà été récolté à cette époque. Fin octobre, 20 à 25 % des pommes de terre restaient encore à récolter.
Jamais si tard si peu
Même en 2016, les moissonneurs circulaient encore tard dans le pays. C'est particulièrement le cas dans l'extrême sud des Pays-Bas et en Belgique, comme le reflète également le graphique. En raison d’une sécheresse persistante, les récoltes n’ont pu se faire sans dégâts. En Belgique, les progrès sont également inférieurs à ceux de 2016, où 65 % avaient déjà été récoltés.
Selon la Déclaration combinée, les Pays-Bas possèdent cette année 78.820 XNUMX hectares de pommes de terre de conservation, souligne-t-on. Fermier et Bunder dehors. Cependant, aucune répartition n'est faite entre la récolte principale et les pommes de terre de primeur destinées à être livrées au champ. La saison off-shore dure environ 3 mois dans les usines. Si l'on divise la superficie en mois (7.500 22.500 hectares par mois), elle ferait XNUMX XNUMX hectares.
Combien d'hectares
La superficie consacrée aux pommes de terre de consommation pour la récolte principale est estimée à 56.320 27 hectares. Si l'on soustrait 15.200 % (superficie récoltée) (40.000 XNUMX hectares), il reste alors plus de XNUMX XNUMX hectares. Toutefois, en pratique, il est presque impossible d’établir des chiffres concrets. Il s'agit principalement d'une estimation. Les pourcentages publiés par Aviko sont calculés sur la base d'estimations effectuées par le personnel de terrain. Il faut surtout le considérer comme une ligne directrice.
Il existe une nette division entre le nord et le sud des Pays-Bas. Dans le sud-est du pays, environ la moitié de la récolte se trouve derrière les étagères. En Hollande du Nord, seuls 10 % ont été dépollués. Dans la province du Flevoland, ce chiffre est de 15 à 20 %. Sur les sols légers du nord et du nord-est, jusqu'à 35 % ont été défrichés. La plupart des préoccupations concernent les sols argileux de la Hollande du Nord, du Flevoland et du sud-ouest.
Calme relatif
Si l’on prend en compte les chiffres ci-dessus, on peut parler d’une situation exceptionnelle. Néanmoins, le secteur de la pomme de terre connaît un calme relatif, même si la situation est différente en dessous. Le marché à terme continue d'évoluer autour de 16 € les 100 kilos et ne descendra pas en dessous.
Il ne semble pas y avoir de soucis majeurs pour le moment. Surtout parce que c'est la météo montre une nette amélioration et tout le monde suppose que les vendanges pourront reprendre dès la fin de cette semaine. Les températures baissent également. Il peut y avoir des gelées nocturnes début novembre. C'est la plus grande menace pour l'instant.
Capacité de récolte suffisante
Des conditions de terrain difficiles et des températures basses réduisent la capacité. La capacité de récolte est là. Par exemple, 2 % de la superficie en Belgique a été dépolluée en 50 semaines et 25 % en France. En Allemagne, la progression a atteint 40 % en 14 jours. Aviko le démontre. Les machines de récolte ne sont pas le problème, car la (sur)capacité est suffisante. Même aujourd’hui, des investissements sont encore réalisés dans des abatteuses supplémentaires. Le retard peut être rapidement rattrapé en 2 semaines.