Pour le moment, les producteurs de pommes de terre belges se retrouvent les mains vides lorsqu'il s'agit d'une aide d'urgence pour la récolte 2019. L'organisation professionnelle Belpotato appelle les producteurs à enregistrer leurs stocks afin de pouvoir dresser un inventaire précis de la quantité exacte de produits invendables stockés. .
Maintenant que les Pays-Bas disposent d'un système de compensation et que les Allemands sont divisés sur une solution, les Belges sont largement seuls à Bruxelles, soutenus en partie par la France. On estime que 750.000 2 tonnes de pommes de terre frites sont encore stockées dans le pays, qui ne trouvent pas de destination pour l'industrie. Un délai supplémentaire est appliqué. Dans un délai de deux semaines, il n'est plus permis d'utiliser l'inhibiteur de germination CIPC, écrit l'organisation wallonne de la pomme de terre Fiwap. Le stocker encore plus longtemps devient un problème, ce qui pourrait entraîner une nouvelle augmentation du surplus. Une prolongation de la durée d’utilisation est attendue, mais n’est pas une certitude.
Arriéré
Belpotato s'en tient aux 750.000 500.000 tonnes, mais écrit que les transformateurs reçoivent à nouveau progressivement plus de commandes. On estime que la capacité de traitement a été réduite de moitié, même si les différences entre les processeurs sont importantes. Cela dépend du marché pour lequel ils produisent. L'organisation estime que le surplus final de pommes de terre se situera entre 750.000 200.000 et XNUMX XNUMX tonnes. L'industrie du pays accuse actuellement un retard de XNUMX XNUMX tonnes dans la collecte des pommes de terre sous contrat auprès des producteurs, selon les calculs de l'association professionnelle. Celui-ci doit être éliminé en juillet et août.
Pour savoir exactement quelle est la situation des producteurs, Belpotato fait appel aux fêtes de la pomme de terre rapport sur le site Belpotato.be. Les producteurs doivent soumettre leurs tonnes, accompagnées d'informations supplémentaires sur le stockage, complétées par des photos et des informations sur la culture. L'organisation y voit la preuve qu'elle doit être bien préparée en cas d'urgence. Il ne peut donner aucune garantie pour le moment. Quiconque vend des kilos gratuits à des canaux alternatifs ferait bien de l'indiquer clairement sur la lettre de voiture, écrit l'organisation.
Stimuler la consommation
Tout d’abord, le secteur de la pomme de terre espère que le plus grand nombre possible de frites et autres produits à base de pomme de terre seront consommés dans son propre pays. Les campagnes publicitaires devraient stimuler la consommation intérieure. Le don à la banque alimentaire est considéré comme une deuxième option, suivi par la vente à l'alimentation animale et enfin à la bio-fermentation. Il n’existe actuellement pas suffisamment de soutien au niveau national pour indemniser les producteurs, ou bien l’argent n’est tout simplement pas disponible. Les regards sont donc tournés vers la Commission européenne.