L'importation de frites au Brésil a chuté au cours des 2 derniers mois. Le pays, qui est le nouvel épicentre de la pandémie de corona depuis début juin, a obtenu moins de frites des Pays-Bas, entre autres.
En mars, les Brésiliens ont enregistré un record d'importation de pommes de terre transformées. Plus de 38.000 50 tonnes ont été importées ce mois-là. Bien que le premier cas de coronavirus dans le pays ait déjà été enregistré fin février, l’effet de l’épidémie virale n’a suivi qu’en avril. Les analystes du marché rapportent que les importations de puces ont chuté de près de 19.000 % ce mois-là, pour atteindre plus de XNUMX XNUMX tonnes.
Il reste trois joueurs
Mei est allée encore plus loin. Les importations n'ont pas dépassé 16.000 53 tonnes le mois dernier. Par rapport aux chiffres d’il y a un an, cela signifie une diminution des importations de près de XNUMX %. Il ne reste plus que trois joueurs qui approvisionnent le Brésil en frites.
Normalement, l'Argentine est le fournisseur le plus important, mais la Belgique, pays exportateur, a dépassé l'Argentine. Nos voisins du sud ont exporté près de 8.900 3 tonnes de frites vers le Brésil en mai, soit un peu moins de 676 % de moins que le même mois de l'année dernière. Cela est peut-être dû au prix que les Brésiliens doivent payer. Selon les analystes, cela représente 895 € la tonne pour les frites en provenance de Belgique contre XNUMX € la tonne pour les frites en provenance d'Argentine.
Les Pays-Bas apportent une contribution significative
Les Argentins sont également confrontés à d'importants problèmes logistiques. Ils ont exporté 6.500 1.000 tonnes de frites vers le Brésil en mai, ce qui ne représente qu'un tiers du volume du même mois de l'année dernière. Les exportations des Pays-Bas sont également tombées à peine à 20 762 tonnes en mai. Cela représente moins de XNUMX % du volume des exportations de mars. Le prix est légèrement supérieur à celui des frites belges, à savoir XNUMX € la tonne.
Bouleversement politique
Les importations totales de chips au Brésil au cours des 12 derniers mois sont toujours supérieures de plus de 6 % au volume de l'année précédente. Reste à savoir si le marché brésilien parviendra à se redresser à court terme. Le gouvernement a réagi relativement tard à l’épidémie de coronavirus et les mesures strictes n’ont pas encore été levées. L'économie du pays en subit un coup dur, entraînant une dépréciation considérable du réal brésilien. Pendant ce temps, les troubles politiques dans le pays s’intensifient en raison des actions du président Bolsonaro, qui ne semble pas vouloir reconnaître la gravité du coronavirus.
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En mars, les Brésiliens ont enregistré un record d'importation de pommes de terre transformées. Plus de 38.000 50 tonnes ont été importées ce mois-là. Bien que le premier cas de coronavirus dans le pays ait déjà été enregistré fin février, l’effet de l’épidémie virale n’a suivi qu’en avril. Les analystes du marché rapportent que les importations de puces ont chuté de près de 19.000 % ce mois-là, pour atteindre plus de XNUMX XNUMX tonnes.
Il reste trois joueurs
Mei est allée encore plus loin. Les importations n'ont pas dépassé 16.000 53 tonnes le mois dernier. Par rapport aux chiffres d’il y a un an, cela signifie une diminution des importations de près de XNUMX %. Il ne reste plus que trois joueurs qui approvisionnent le Brésil en frites.
Normalement, l'Argentine est le fournisseur le plus important, mais la Belgique, pays exportateur, a dépassé l'Argentine. Nos voisins du sud ont exporté près de 8.900 3 tonnes de frites vers le Brésil en mai, soit un peu moins de 676 % de moins que le même mois de l'année dernière. Cela est peut-être dû au prix que les Brésiliens doivent payer. Selon les analystes, cela représente 895 € la tonne pour les frites en provenance de Belgique contre XNUMX € la tonne pour les frites en provenance d'Argentine.
Les Pays-Bas apportent une contribution significative
Les Argentins sont également confrontés à d'importants problèmes logistiques. Ils ont exporté 6.500 1.000 tonnes de frites vers le Brésil en mai, ce qui ne représente qu'un tiers du volume du même mois de l'année dernière. Les exportations des Pays-Bas sont également tombées à peine à 20 762 tonnes en mai. Cela représente moins de XNUMX % du volume des exportations de mars. Le prix est légèrement supérieur à celui des frites belges, à savoir XNUMX € la tonne.
Bouleversement politique
Les importations totales de chips au Brésil au cours des 12 derniers mois sont toujours supérieures de plus de 6 % au volume de l'année précédente. Reste à savoir si le marché brésilien parviendra à se redresser à court terme. Le gouvernement a réagi relativement tard à l’épidémie de coronavirus et les mesures strictes n’ont pas encore été levées. L'économie du pays en subit un coup dur, entraînant une dépréciation considérable du réal brésilien. Pendant ce temps, les troubles politiques dans le pays s’intensifient en raison des actions du président Bolsonaro, qui ne semble pas vouloir reconnaître la gravité du coronavirus.
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