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intérieur Pommes de terre

Le prix physique de la pomme de terre pourrait facilement doubler

21 Augustus 2020

La semaine dernière, les précipitations tant souhaitées sont finalement tombées en de nombreux endroits. Il n’y a certainement pas eu suffisamment de chutes dans toutes les zones de culture, mais de nombreuses cultures en ont été reconnaissantes.

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Cette semaine, le marché à terme a été dominé par les récoltes tests des différents pays. Il devient de plus en plus clair que cette année ne sera pas une bonne année en termes de rendement. Les essais de récolte en Allemagne, en Belgique et en France indiquent clairement que les rendements dépasseront ceux de 2018, mais qu'ils n'atteindront pas pour l'instant la moyenne quinquennale. Le rendement semble se diriger vers 5/2016, en fonction de l'évolution de la croissance ultérieure.

Trop de précipitations
Il y a désormais aussi des producteurs qui s'inquiètent des précipitations trop abondantes. L’eau de mer chaude provoque des averses qui montent rapidement et qui peuvent produire localement de fortes précipitations. Cela pourrait peut-être devenir le prochain défi pour les producteurs de pommes de terre.

En raison des rendements modérés, le marché à terme connaîtra également un plancher plus ferme cette semaine. Le marché à terme a culminé à 8,5 € en milieu de semaine, mais n'a pas pu se maintenir à ce niveau en fin de semaine.

Les défis du marché physique
Les plus grands défis semblent résider dans le marché physique et ses liens avec le marché à terme. Toutes les bourses étaient à nouveau en « Pas de cotation » cette semaine. C’est dommage, car les producteurs n’ont aucune idée de ce qu’est le marché actuellement. Les transformateurs néerlandais ont indiqué qu'ils n'étaient pas des acheteurs, mais ont noté les « kilos excédentaires » entre 1,5 et 2 euros. Cependant, avec une demande croissante cette semaine de la part des non-transformateurs, il s'est avéré difficile d'acheter des pommes de terre gratuites pour 3 €. Même une offre à 5 € n'a pas pu être faite par les différents acteurs du marché.

Manque d'alternatives
La Belgique est physiquement la plus faible. Cela est principalement dû au manque de ventes alternatives. La Belgique n'a pas d'industrie de l'amidon ou des flocons et le marché du fourrage n'y est pas développé pour les pommes de terre fourragères. Cette semaine, des échanges y avaient lieu pour 3 € gratuits, mais il y avait aussi des échanges pour 3 € collectés.

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