Les producteurs de pommes de terre canadiens de l'Île-du-Prince-Édouard recevront cette année 1800 10 € par hectare pour cultiver moins de pommes de terre de semence. Pour ce faire, ils doivent réduire leur surface d'au moins XNUMX %. Le secteur de la pomme de terre sur l'île a connu une année difficile après qu'une double découverte de verrues a paralysé les exportations.
La saison dernière, à l'Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.), la maladie des verrues a été détectée dans deux parcelles. En conséquence, l'Agence canadienne d'inspection des aliments a décidé de suspendre l'exportation de pommes de terre de semence et de pommes de terre de conservation vers les États-Unis. Ce n'est pas la première fois qu'une chose pareille se produit arrivé après une découverte du verrue Synchytrium endobiotique.
136.000 XNUMX tonnes de surplus
L'interdiction d'exporter a été un coup dur pour les nombreux agriculteurs de « l'île de la pomme de terre ». Il s'agit de la plus grande région productrice de pommes de terre au Canada, avec une production annuelle d'environ 1,13 million de tonnes de pommes de terre. Sur ce total, 136.000 XNUMX tonnes n'ont pas pu être exportées vers les États-Unis au cours de la saison d'exportation en cours. Certaines pommes de terre destinées à la consommation sont domestiques traité, mais les plants de pommes de terre ont été détruits.
Le gouvernement local de l'île a un programme mis en place où les producteurs de pommes de terre de semence sont payés pour cultiver moins de pommes de terre. Pour ce faire, ils doivent réduire leur superficie d’au moins 10 % par rapport à l’année dernière. Les parcelles où seraient cultivées ces plants de pommes de terre doivent être ensemencées avec un engrais vert, afin d'améliorer la santé des sols et de séquestrer le carbone. Ce n'est pas sans raison qu'il est appelé « Projet de renforcement des sols pour les producteurs de semences ».
1800 XNUMX € par hectare
Les producteurs de plants de pommes de terre reçoivent 1.000 1.800 dollars par acre – l’équivalent de plus de 1 60 euros par hectare – pour laisser le planteur à la maison. Ils ont jusqu'au XNUMXer juillet pour le faire. La question est de savoir si les entreprises modifieront leurs plans de construction, car plus de XNUMX % de la superficie est déjà en terre. Seules les entreprises qui ont subi une perte financière l’année dernière en raison de leur incapacité à exporter sont autorisées à participer.
Grâce à cette mesure, le gouvernement espère réduire la superficie et améliorer la santé des sols. La superficie de l'Île-du-Prince-Édouard s'élève normalement à environ 35.000 180 hectares, répartis entre 20 producteurs. La superficie consacrée aux plants de pommes de terre représente environ XNUMX % du total. On ne sait pas quelles conséquences une réduction de la culture aura, par exemple, sur les États-Unis, mais aussi sur d’autres destinations d’exportation. Au Canada, il y a des pénuries dans certaines races.