Le temps se développe pour la carotte et cela se reflète dans l'offre. Les chiffres sur le marché augmentent, même si la demande n'augmente pas proportionnellement. En conséquence, le prix a de plus en plus de mal à maintenir sa position.
Températures autour de 20 degrés et averses de pluie très régulières. Ce sont les conditions dans lesquelles la carotte prospère. Des rendements de 75 à 80 tonnes par hectare sont rapportés. Bref, l'offre est riche.
La question, en revanche, est brève. Il y a peu de bruit, surtout en ce qui concerne le libre-échange. En raison du temps plus frais, les Néerlandais mettent plus souvent des carottes sur la table, mais les ventes intérieures ne concernent pas de grandes quantités. D’autres pays européens produisent souvent suffisamment de leur propre récolte, ce qui signifie que la demande doit provenir de destinations étrangères. L’Afrique apporte la plus grande contribution à cet égard.
Des prix quelque peu sous pression
L’offre abondante sur ce marché calme provoque une certaine pression sur les prix. La cotation DCA du B-peen s'élève à un prix moyen de 13,50 € les 100 kilos, avec des pointes au dessus (10 €) et en dessous (16 €). Une situation similaire est visible dans le commerce des carottes C grossières. Le prix moyen est légèrement inférieur : 13 € les 100 kilos. Ici aussi avec une fourchette de 10 € à 16 €.
Si la situation sur le marché ne change pas, on s’attend à ce que les prix des carottes subissent de nouvelles pressions au cours de la période à venir.