Agriphoto

intérieur La betterave à sucre

La baisse du prix du sucre n'est plus la principale préoccupation des producteurs

2 Avril 2020 -Jeannette Pennings

Avec un compteur à plus de 10.000 XNUMX hectares, la betterave est désormais semée dans toutes les régions. Sur les sols légers, cela fonctionne sans aucun problème, mais sur les sols argileux lourds avec des à-coups. Pendant ce temps, les prix du sucre ont commencé à chuter fortement.

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La saison des semis de betteraves sucrières a commencé à la mi-mars démarrage humide, mais Dame Nature a rapidement changé la donne ces dernières semaines. Grâce au temps ensoleillé et sec, les semis peuvent désormais avoir lieu dans différentes régions. Cela s'applique particulièrement aux sols plus légers et aux endroits où un labour a été effectué. Le sol moins léger devient également de jour en jour plus facile à travailler.

Varie selon la région
À la fin de la semaine 13, en moyenne 12,7 % de la superficie betteravière aux Pays-Bas avait été semée, rapporte Suiker Unie. En Hollande du Nord et du Sud, en Zélande et dans le Limbourg, les semis sont clairement les plus rapides avec des pourcentages allant jusqu'à 20 %. Dans le Brabant occidental (6,8 %), dans la Gueldre et dans le nord des Pays-Bas (environ 9 %), les semis sont moins réussis.

Le semis de betteraves est actuellement une option, notamment sur les sols plus lourds défi. Le sol est cultivé sur plusieurs parcelles, mais les producteurs attendent que la pluie tombe. Le sol est exceptionnellement dur et motteux et sèche rapidement, en partie à cause du vent fort du nord. «Même après trois labours, le lit de semence est à peine adapté», écrit Suiker Unie. "Les rouleaux de nombreuses parcelles ensemencées ont été retirés du coin du hangar."

 

La hausse des prix s’arrête brusquement
Entre-temps, les rapports sur le marché international du sucre n'apportent que peu de soulagement aux producteurs. Même si les prix ont augmenté ces derniers mois avance étaient très occupés, ce mouvement s'est récemment arrêté brutalement. La crise du coronavirus a même provoqué une forte baisse des prix. Le 23 mars, le prix du sucre était revenu au niveau d'octobre 2019, rapporte la commission sucre de la Commission européenne. 

Et tandis que l’Organisation internationale du sucre (ISO) s’attend à ce que la saison 2019/2020 se termine sur la plus grande pénurie de sucre depuis plus d’une décennie. On suppose une production de 167 millions de tonnes et une consommation de 176 millions de tonnes. Cela entraînera une pénurie de plus de 9 millions de tonnes, ce qui entraînera une diminution de l'offre mondiale à 85 millions de tonnes.

Prix ​​européens
Jusqu'à l'effondrement du marché du sucre dû à la crise mondiale du coronavirus, la pénurie de sucre se reflétait dans les prix moyens dans l'Union européenne. Les prix ont augmenté, surtout dans les pays en pénurie (Europe du Sud). Par exemple, 445 € la tonne ont été payés ici en janvier, contre 347 € dans les plus grands pays producteurs (Belgique, Allemagne, France, Royaume-Uni et Pays-Bas). Les prix des sports étaient à un niveau nettement plus élevé jusqu'à la mi-février, mais ils sont désormais nettement inférieurs aux prix annoncés.

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