Les producteurs de pommes de terre frites devront attendre encore un peu pour connaître les conditions d'indemnisation des excédents de pommes de terre dus à la crise du coronavirus. Le ministère de l'Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire prolongera au cours du week-end l'annonce du prochain dispositif d'indemnisation.
Le montage doit être réalisé sous vapeur et eau bouillante. Dans le même temps, la ministre de l'Agriculture Carola Schouten souhaite présenter un paquet global qui comprend également des réglementations pour les fruits et légumes, la floriculture et d'autres secteurs, comme l'élevage de canards.
Par ailleurs, de nouvelles mesures de soutien de la Commission européenne ont été annoncées hier (jeudi), qui sont toujours à l'étude. Quoi qu'il en soit, le directeur du BO-Akkerbouw, André Hoogendijk, qui dirige la consultation sectorielle avec le ministère, "n'a pas actuellement l'impression que le cabinet prendra une décision à ce sujet aujourd'hui (vendredi 3 avril)."
Deux semaines
Les acteurs de la filière commune du secteur de la culture et de la transformation des pommes de terre frites sont en consultation depuis deux semaines avec le ministère de l'Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire au sujet d'un système d'indemnisation. Après le Conseil des ministres européen de fin mars, il est apparu clairement qu'il y aurait très probablement un système plafonné à 100.000 XNUMX euros d'indemnisation par producteur. Le dispositif doit être facile à mettre en œuvre et rapide à mettre en œuvre.
Le transformateur de fécule de pomme de terre Avebe a déclaré dans une lettre adressée à ses membres qu'il n'avait pas l'intention de transformer les surplus de pommes de terre frites, de sorte que cette directive n'offre aucune solution.