La première inspection sur le terrain pour les plants de pommes de terre est presque terminée et la deuxième inspection sur le terrain est également en bonne voie. Ceci est rapporté par le service d'inspection NAK. Le pourcentage de réduction augmente déjà considérablement, les maladies bactériennes étant la principale cause. La pression vectorielle reste quelque peu inférieure à celle des deux dernières années.
Selon l'Inspection générale néerlandaise (NAK), jusqu'à la semaine 28 incluse, 5,9 % de la superficie des plants de pommes de terre a été réduite en classe. C'est beaucoup plus que la semaine dernière, où le pourcentage de réduction était encore de 3,4 %. Par rapport à l’année dernière, des réductions légèrement plus importantes ont été réalisées au cours de la semaine 28. Cette campagne agricole s’inscrit toutefois dans la lignée de celle de 2022, où l’on avait enregistré une réduction de 6 % la même semaine. Dans les régions du Centre et du Nord aux sols sableux (6,2 %), la classe a été légèrement plus réduite que dans les régions argileuses du Nord (5,8 %) et du Sud (5,5 %).
En termes de pourcentage de réduction et de cause, cette saison de croissance est quelque peu similaire à 2022. Outre le pourcentage de réduction, les maladies bactériennes sont également la principale cause de réduction de classe cette saison de croissance avec 77 %. Viennent ensuite le virus de la mosaïque à 15 % et les « autres » à 8 %. Ce n’est pas une surprise après les conditions humides de ce printemps et la moins bonne structure moyenne des sols. En 2022, les maladies bactériennes étaient également la principale cause de la réduction, soit 72 %. En 2023, c'était le virus de la mosaïque avec 64 %.
0,5% de la superficie a également été rejetée, ce qui représente 193 hectares selon les chiffres du NAK. 534 parcelles bénéficient désormais également d'une autorisation de destruction du feuillage.
Surveillance des pucerons
La pression vectorielle sur les plants de pommes de terre est beaucoup plus faible dans la plupart des régions par rapport aux années récentes, surtout si l’on regarde les années 2023 et 2022. Cependant, cela ne s’applique pas entièrement à toutes les régions. Plus tôt dans la saison, vers la semaine 18 (la première semaine de mai), la pression vectorielle a augmenté rapidement dans de nombreuses régions. Ces dernières semaines, la pression n’a que légèrement augmenté dans de nombreuses régions.
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