À l'intérieur : Marché aux oignons

À quel point la récolte actuelle d’oignons est-elle dramatique ?

30 mars 2017 -Clarisse van der Woude - Commentaires 21

Après la récolte d'oignons de l'année dernière, tout le monde pensait que ce serait une bonne année pour l'oignon. Cependant, il est vite apparu que cela n’était pas possible. Quels étaient les arguments à l’origine de ces attentes élevées et que s’est-il passé ensuite ? Y a-t-il encore une chance de renouveau cette saison ?

Souhaitez-vous continuer à lire cet article ?

Devenez abonné et obtenez un accès instantané

Choisissez l'abonnement qui vous convient
Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

Les attentes concernant la saison de vente d'oignons étaient élevées à l'automne 2016. 4 raisons ont donné naissance au positivisme. Les vendanges se sont déroulées dans de bonnes conditions et le rendement semble modéré. De plus, les pommes de terre étaient chères et le marché de l'oignon venait de connaître une bonne saison d'oignons.

Le marché est-il peut-être un peu trop calme ?

La réalité est cependant que le marché reste calme à l’automne. Peut-être un peu trop calme. Il est d’autant plus frappant qu’un volume record d’oignons puisse encore être transformé. L’Afrique est le premier acheteur. L'image positive des chiffres des exportations ne semble pas pouvoir influencer l'ambiance et les prix.

Pourquoi n'a-t-il pas fonctionné jusqu'au Nouvel An ?

  • La demande d’exportation ne stimule pas le commerce
  • Il y avait un approvisionnement suffisant en oignons, il n'y avait aucun écart entre la plantation et la récolte des semences d'oignons.
  • Question unilatérale (Afrique de l'Ouest)
  • Le Sénégal, principal acheteur, passe à un quota d'importation plus tôt que prévu, mais achète une quantité record d'oignons
  • Après la fermeture des frontières du Sénégal, aucune destination ne pourra répondre à la plus grande demande
  • En raison du manque de Pologne sur le marché des acheteurs, il n'y a pas de fond sur le marché

Le phénomène que l'on constate de plus en plus ces dernières années est que la première moitié de la campagne de l'oignon offre plus de perspectives que la seconde. C'est également le cas cette saison. L’incertitude a prévalu tout au long de la saison, mais elle devient encore plus présente au cours du second semestre.

Même avec les prix bas actuels, les Pays-Bas ne sont pas en mesure de générer des ventes avec des oignons de qualité.

Le mois de février a toujours été un mois maigre en termes d’échanges et de manque de soutien. Il n'est donc pas possible d'attirer de nouveaux acheteurs. Même si la demande du Brésil ne semble pas être au rendez-vous, les derniers chiffres d'exportation montrent que le pays sud-américain reste le quatrième client. Il n’en demeure pas moins que l’Afrique a disparu et que la demande de l’Europe de l’Est n’est pas (encore) disponible. Même l'actuel bas prix Les Pays-Bas ne sont pas en mesure de générer des ventes avec des oignons de qualité. 

Le fait qu’il y ait trop peu de demande d’oignons à l’échelle mondiale est inquiétant. 18.000 12.000 tonnes devraient être exportées chaque semaine, mais le chiffre des exportations ne dépasse pas XNUMX XNUMX tonnes. Si les températures en Europe de l’Est n’augmentent pas bientôt, il n’y a aucune raison d’être optimiste et il est même possible que nous nous retrouvions avec une vieille récolte. Une pensée dramatique. 

Moyenne des foires régionales de semis d'oignons, récolte grossière 2016

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login