Le moteur de l'exportation d'oignons néo-zélandais tourne à plein régime. C'est une conséquence logique de la rareté, qui touche particulièrement le marché européen. Quels pays tirent le plus fort sur les oignons néo-zélandais ?
Il fallait s'attendre à ce que les transformateurs d'oignons néerlandais commencent à chercher tôt dans la saison aux alternatives, car il est vite devenu évident que la récolte d'oignons serait mauvaise. De nombreux transformateurs avaient donc les yeux tournés vers la Nouvelle-Zélande et les nouveaux chiffres d'exportation (jusqu'à la semaine 11) montrent que l'Europe a pu revendiquer une grande partie de cette récolte.
Plus d’exportations de la Nouvelle-Zélande
Sur le volume total exporté par la Nouvelle-Zélande (56.164 42.773 tonnes), 13.659 3.117 tonnes ont été expédiées vers l'Europe. Les Pays-Bas ont reçu 11 8.211 tonnes d'oignons du pays, ce qui en fait de loin le plus grand importateur d'oignons néo-zélandais. Ce volume est également de 6.961 XNUMX tonnes de plus que celui importé l’année dernière jusqu’à la semaine XNUMX incluse. Après les Pays-Bas, suivent l'Allemagne (XNUMX XNUMX tonnes) et les autres pays européens (XNUMX XNUMX tonnes).
En outre, la Malaisie est également entrée sur le marché de l'oignon néo-zélandais cette saison. Le pays a importé 1.643 tonnes de Nouvelle-Zélande, soit 1.405 tonnes de plus que l'an dernier (+590%). En revanche, le Japon, avec 817 tonnes, est en retard de 62 % par rapport à l'an dernier.
Le plomb augmente
Lorsque nous examinons les ventes totales d'oignons de la Nouvelle-Zélande vers l'Europe continentale, nous constatons que l'avance a augmenté par rapport aux années précédentes. Ce chiffre s'élève désormais à 13.481 58 tonnes. Cela représente un plus de 36 % par rapport à l'année dernière et 6 % de plus que la moyenne sur XNUMX ans.