La Nouvelle-Zélande a un accord commercial avec 14 pays. Ce partenariat économique global régional (RCEP) garantit davantage de libre-échange entre les 15 pays d'Asie-Pacifique. C'est une bonne nouvelle pour les exportations d'oignons de la Nouvelle-Zélande.
Les détails entourant le RCEP n’ont pas encore été annoncés. Pourtant, Onions New Zealand, l'association professionnelle de l'industrie de l'oignon du pays, applaudit déjà prudemment. Cela apporte de nouvelles destinations pour l’exportation des oignons néo-zélandais. Seule l'Inde, premier producteur et consommateur mondial d'oignons, est exclue de cet accord. Le RCEP inclut davantage de légumes pouvant être exportés sans mur tarifaire. Le traité stipule entre autres que les denrées périssables doivent être récupérées dans un délai de 6 heures.
L'association industrielle Onions New Zealand estime que la Nouvelle-Zélande exportera des oignons pour une valeur de 170 millions de dollars cette année. Cela s'élève à environ 98 millions d'euros. C'est un record. La raison en est la forte demande de l’Union européenne, qui a elle-même eu une très petite récolte.
Zone stable
La superficie consacrée à l'oignon en Nouvelle-Zélande s'étend sur environ 5.000 200.000 hectares. C’est très stable d’une année sur l’autre. Nous sommes maintenant au printemps et les semis d’oignons n’en sont souvent qu’à leurs débuts. Les vendanges commencent à la mi-octobre, même si elles ne démarrent vraiment que vers décembre. Environ 85 50 tonnes d'oignons sont produites chaque année, dont environ XNUMX % sont exportées. L'Union européenne est le plus gros acheteur d'oignons (XNUMX %). Cependant, les destinations asiatiques deviennent de plus en plus importantes.
Malgré des nouvelles positives sur le front des exportations, il existe également une certaine incertitude pour les « kiwis ». Le Royaume-Uni est une destination importante. Si le pays ne fait plus partie de l’Union européenne, il devra conclure de nouveaux accords commerciaux.