17 millions d'euros versés

Un agriculteur rate le filet en ce qui concerne les dégâts causés à la faune

2 janvier 2017 - Éditorial des affaires des agriculteurs - Réaction 1

17.236.875 2015 85 euros. C'est le montant que le Fonds de la Faune doit avoir sur son compte pour compenser les dommages causés à la faune pour XNUMX. Plus de XNUMX pour cent de l’argent va aux propriétaires de prairies. Ce n’est pas surprenant, car les oies causent ici beaucoup de dégâts. Les agriculteurs pêchent-ils involontairement derrière le filet ?

Les dégâts causés par les oies tout au long de l'année 2015 s'élèvent à plus d'un euro par Néerlandais. Au total, 17.236.875 2016 16,3 euros ont été versés à titre d'indemnisation. Surtout pour les dégâts causés aux prairies. Cela ressort clairement des données publiées par le fonds. Ce montant devrait être encore plus élevé pour 2,5. Au cours des six premiers mois, XNUMX millions d'euros ont été indemnisés. À cela, on peut probablement ajouter XNUMX millions d'euros, schrijft le CNRC. Une différence de 1,57 million d'euros par rapport à 2015.

18,8

millions d'euros

dégâts sur la faune en 2016 ?

Au total, le Fonds Faune a traité près de 2012 23.000 signalements de dégâts émanant d'agriculteurs depuis 86. Cela concerne principalement les dégâts causés aux cultures. Il s’agit généralement de prairies. 5 pour cent du montant des dégâts sont destinés à cette « récolte ». Avec 4 pour cent, ce qui est peut-être surprenant, les dégâts causés aux poires viennent en deuxième position, et les céréales d'hiver en troisième avec 5 pour cent. Les 75 pour cent restants sont répartis entre XNUMX autres cultures. Le Fonds Faune indemnise également les dommages causés aux animaux, même si cela est très sporadique.

Le CNRC a mis tous les rapports sur une carte des Pays-Bas. On peut immédiatement en conclure que les oies suivent l'eau. La région des lacs frisonnes en particulier est un point chaud des dégâts causés par les oies. Des millions ont été versés en compensation ces dernières années. Certaines parties de la Hollande septentrionale - le long du Markermeer - ont également subi de nombreux dégâts, tout comme la Veluwe. Les zones arables du Flevoland, du Brabant septentrional et de la Zélande sont à peine éclairées.

Wim van Werven, évaluateur agricole chez Valorisations Wiberg de Kamperveen, souscrit à la conclusion tirée par le NRC. « On trouve naturellement des oies près de l'eau. Les prairies sont souvent proches de l’eau, ce qui les rend attractives pour les oies. C’est là que l’on constate le plus de dégâts. C'est une chose naturelle.

Au prix actuel du blé, vous devez déjà battre 2 tonnes de moins pour compenser les frais de reporting.

Van Werven ne peut que spéculer sur la vérité qui se cache derrière l'énorme différence entre les 86 pour cent de dégâts causés à l'herbe et les 4 pour cent de dégâts aux céréales. "Peut-être que tous les agriculteurs ne savent pas comment signaler les dégâts ?", suggère-t-il. « Lorsqu'il s'agit de dommages accidentels, vous constatez qu'ils ne sont pas toujours signalés. Cela concerne également le « montant de traitement » de 300 euros utilisé par le centre de déclaration. Le prix des céréales a donc également une légère influence sur le règlement. Rien que pour rembourser les frais de reporting, il faut récolter près de 2 tonnes de moins sur un hectare au prix actuel du blé.

Les propriétaires de prairies situées dans les zones d'alimentation bénéficient d'un règlement automatique des réclamations. Indemnisation des dommages annuels importants. Les collègues agriculteurs ne sont-ils pas désavantagés ? Dans la pratique, on sait quels dommages les oies peuvent causer aux céréales et autres cultures (arables). Selon l'évaluateur, c'est un peu trop simpliste. « Les agriculteurs dont les terres se trouvent dans des zones d'alimentation désignées sont obligés de laisser les oies tranquilles. Ils ne doivent donc pas prendre de mesures dissuasives, comme c'est le cas des agriculteurs de grandes cultures. Ceci ne s'applique pas aux prairies nouvellement semées. En échange de l'hébergement des oies, ils bénéficient d'un traitement automatique des réclamations.

Les dégâts causés à la faune sont un thème récurrent pour les entrepreneurs agricoles. Le problème s'aggrave-t-il ? Van Werven n'ose pas le dire avec son expérience actuelle. « La population d'oies connaît une augmentation historique, ce qui devrait également accroître les dégâts. Le système d’indemnisation implique parfois des changements politiques mineurs. Cela varie également selon la province, mais est globalement fixe. La procédure est ouverte à tout entrepreneur, mais il reste à déterminer si cela est intéressant.

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commentaires
Réaction 1
Du vrai belge 2 janvier 2017
Ceci est une réponse à cet article :
[URL=http://www.boerenbusiness.nl//article/10872867/Un agriculteur pêche derrière le filet en cas de dégâts causés à la faune[/url]
Cela ne me conviendrait pas.

Ces oies disparaîtraient « à notre façon », sans nous signaler !
Comprenez qui peut le faire. Agriculteurs, vous vous laissez berner par ces coquins rouges et verts. Il est temps progressivement d’exiger trois fois plus ET de décimer les pollueurs de fumier qui déversent du phosphate et de l’azote aux dépens des agriculteurs.
anton 2 janvier 2017
Il faut pouvoir chasser toutes les espèces d'oies, et pas seulement les oies grises et les bernaches du Canada dans les zones refuges, pas TOUTES les espèces, et elles sont nombreuses et font d'ÉNORMES dégâts. Après une évaluation, on échoue toujours. Alors filmez TOUT et PARTOUT.
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