L'Union européenne et le Mexique sont en discussion pour parvenir à un accord de libre-échange. L’objectif est d’échanger davantage de produits (agricoles) entre eux. Le commerce du lait et de la viande de porc restera pour l'instant inchangé. C'est trop sensible.
Les négociateurs du Mexique et de l’Union européenne sont en consultation pour parvenir à un accord de libre-échange. Lors de la troisième consultation, il a été convenu qu'il fallait intensifier les échanges de produits agricoles. Au total, 6 séances de consultation sont à l’ordre du jour.
Le lait et le porc ne sont pas inclus
Toutefois, le lait et la viande de porc constituent des flux commerciaux sensibles dans les négociations de libre-échange. Selon un négociateur européen, une libéralisation complète est pratiquement impossible. Ces flux constituent donc une exception. Cela signifie que les négociations peuvent se poursuivre normalement. L’objectif est de parvenir à un accord d’ici la fin de cette année. Cet accord doit remplacer les accords existants.
Après la Chine et les États-Unis, l’Union européenne est le troisième partenaire commercial du Mexique. Le montant des échanges annuels s'élève désormais à environ 57 milliards d'euros. Selon le gouvernement mexicain, ce montant pourrait tripler si les deux grandes puissances parviennent à un nouvel accord commercial.
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