Des fonds doivent être débloqués pour rendre l'assurance contre les intempéries plus attrayante. Cela se fait au détriment des droits au paiement. Selon le secrétaire d'État Martijn van Dam, il n'y a pas d'autre moyen. Il a répondu mardi aux questions parlementaires. LTO croit que les choses devraient être faites différemment. La Chambre des représentants rendra une décision la semaine prochaine.
Les réponses aux questions parlementaires du 4 juillet montrent que Van Dam s'attend à ce que la totalité du budget POP de 2018 millions d'euros ait été utilisée d'ici la fin de 743. "C'est pourquoi je ne vois aucune raison d'utiliser l'argent d'une manière différente au sein du deuxième pilier", écrit van Dam mardi.
L'argent du budget de la PAC
Martijn van Dam souhaite dégager un budget supplémentaire pour l'assurance contre les intempéries et la gestion de la nature agricole. Il s'agit d'un montant de 30 millions d'euros qui sera transféré des droits au paiement vers le deuxième pilier (fonds POP3). Cela équivaut à une remise supplémentaire de 4,5 % sur les droits au paiement.
réduction
L'augmentation des fonds destinés à l'assurance contre les intempéries devrait-elle se faire au détriment du budget des droits au paiement ? LTO pense que non. Selon l'organisation d'agriculteurs, cela signifie une remise supplémentaire de 4,5 % sur le paiement des droits au paiement et seuls 12 % du budget sont utilisés à partir des fonds POP3. Lorsque cet argent n'est pas utilisé, il doit être remboursé à l'UE. Selon Jacob Bartelds, titulaire du portefeuille pour l'Environnement, il n'est pas nécessaire de décaler les budgets. Bartelds : « Répondez à la demande supplémentaire d'assurance contre les intempéries et de gestion de la nature agricole en déplaçant des éléments du programme actuel. Dans ce cas, une remise supplémentaire de 4,5 % sur les droits au paiement n'est plus du tout nécessaire et vous empêchez l'argent de retourner dans l'UE. »
Assurance météo étendue
Une évaluation de l'assurance météo globale montre que des primes élevées, des franchises élevées et une couverture limitée sont les principales raisons de ne pas souscrire une assurance météo complète. Afin de permettre aux entrepreneurs de recourir davantage à l'assurance climatique au sens large, le budget doit être augmenté. La Chambre des représentants se prononcera la semaine prochaine.
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