La gestion des risques dans la politique agricole commune (PAC) est le thème principal du Conseil agricole. Il aura lieu du 3 au 5 septembre. Van Dam soutient la proposition de l'Estonie de financer des calamités, telles que la crise du fipronil, avec l'argent de la PAC. Le secrétaire d'État Martijn van Dam l'a écrit dans une lettre adressée à la Chambre des représentants le 28 août.
L'Estonie, pays de la présidence, souhaite que de l'argent soit réservé dans le cadre de la PAC pour les crises agricoles. Une partie du budget doit donc être convertie en un montant qui est versé lorsqu'une mesure de crise est nécessaire. Le nouveau système de la PAC devrait entrer en vigueur en 2021.
L'agriculteur doit prendre lui-même les mesures de risque
Le président estonien souligne l'importance des mesures de gestion des risques pour prévenir les effets négatifs sur les revenus des agriculteurs. Cela inclut la forte fluctuation des prix de vente des produits sur le marché.
Les effets du changement climatique jouent également un rôle. Les agriculteurs y sont de plus en plus confrontés. Ces calamités peuvent être subdivisées en risques de produit (quantité et qualité) et risques de prix.
La continuation actuelle n'est pas souhaitable
Van Dam apprécie L'initiative de l'Estonie discuter du rôle de la gestion des risques dans la future PAC. Il soutient que les entrepreneurs agricoles doivent prendre eux-mêmes des mesures pour réduire les risques. On peut penser à la prévention, à la négociation sur le marché à terme ou à diverses polices d'assurance. La PAC a déjà contribué à l'utilisation plus large de l'assurance générale contre les intempéries.
Van Dam considère qu'il n'est pas souhaitable de maintenir les paiements actuels de la PAC aux agriculteurs. Il veut se débarrasser de l'aide directe au revenu et souhaite à la place un système de récompenses pour les agriculteurs qui font des efforts supplémentaires, par exemple avec le verdissement et la durabilité.
Les prix des terrains de plus en plus élevés
Il soutient la proposition de l'Estonie de convertir le paiement direct en gestion des risques. Selon Martijn van Dam, le système actuel de la PAC conduit à des prix fonciers de plus en plus élevés. Cela empêche les jeunes agriculteurs de se développer dans leur entreprise.
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