Le nombre d'exploitations agricoles et laitières aux Pays-Bas diminue, mais la taille moyenne de l'exploitation augmente. Les revenus moyens, en revanche, ont fortement baissé. C'est ce qui ressort du mémorandum « Développement économique des exploitations agricoles et laitières » de Wageningen Economic Research.
La surface moyenne des exploitations agricoles est passée de 2006 hectares à 2015 hectares entre 60 et 64. La superficie moyenne des exploitations laitières aux Pays-Bas est passée de 45 hectares à 53 hectares au cours de la même période.
Les agriculteurs arables gagnent moins qu'en 2015
Le revenu moyen d'une ferme arable pour 2016 est estimé à 58.000 14 €. C'est 2015% de moins qu'en 2006. Cependant, cela correspond au revenu moyen de la période ci-dessus (2015-20). Selon l'estimation du rapport, 20 % des agriculteurs de grandes cultures subiront une perte de revenus, tandis que 98.000 % supplémentaires réaliseront un revenu de plus de XNUMX XNUMX €.
Le rendement total pour la campagne de commercialisation en cours est estimé légèrement inférieur. Cela s'explique par la baisse des prix de vente de la betterave à sucre, par exemple. Cependant, ce qui précède ne s'applique pas au marché de la pomme de terre, car il est lié à une forte demande de pommes de terre de consommation.
La valeur au bilan des exploitations arables a doublé depuis 2006. En 2006, ce nombre s'élevait à 1,95 million d'euros et en 2015, ce nombre est passé à 3,89 millions d'euros. Ceci est principalement dû à la forte hausse du prix des terrains et à la croissance de la taille des entreprises. Par hectare de terre cultivée, la valeur au bilan des exploitations arables est passée de 33.000 60.000 € à XNUMX XNUMX €.
L'élevage laitier sous pression
En élevage laitier, l'histoire est encore plus décevante. Le revenu moyen pour 2016 y est estimé à 16.000 7.000 €. C'est près de 2015 2006 € de moins qu'en 2015. Le revenu moyen sur la période 32.500 à 2009 était même de XNUMX XNUMX €. Ce n'est qu'en XNUMX qu'un revenu encore plus faible a été réalisé.
En raison de l'abolition des quotas laitiers, l'approvisionnement en lait a considérablement augmenté. En conséquence, le prix du lait en 2016 a baissé en moyenne de 9 %. A cette époque, il y avait aussi une augmentation du nombre moyen de vaches laitières et de la production de lait par vache.
La valeur au bilan de l'élevage laitier a augmenté moins rapidement que celle des exploitations de grandes cultures. En 2006, il était de 2,45 millions d'euros et en 2015 de 3,07 millions d'euros. La valeur au bilan par hectare de terres cultivées est de 58.000 7 €, en hausse de 2006 % par rapport à XNUMX.
Des rendements plus élevés dans les grandes cultures
Entre 2011 et 2015, les exploitations arables ont réalisé un rendement beaucoup plus élevé que les exploitations laitières. Une ferme arable moyenne a réalisé un rendement de 3,7 % et une ferme laitière un rendement de 1,7 %.
Par ailleurs, il est frappant de constater que la part du prêt bancaire dans l'élevage laitier a considérablement augmenté, passant de 12.000 17.000 € à XNUMX XNUMX €. Ce prêt n'a qu'une part limitée parmi les exploitations agricoles.
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