À l'intérieur : marché laitier

Droits sur les phosphates : les faits en un coup d'œil (partie 2)

23 Octobre 2017 - Bart-Jan van Zandwijk - Réaction 1

Dans environ 10 semaines, les producteurs laitiers des Pays-Bas seront pour la première fois confrontés à des droits sur le phosphate. Il s'agit d'un nouvel ajout au troupeau laitier. Cette série en trois parties répertorie les questions et réponses les plus importantes concernant les droits sur le phosphate. C'est la deuxième partie.

Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

In la première partie Dans cette série, nous avons examiné l'introduction des droits sur le phosphate, nous avons examiné le fonctionnement des droits sur le phosphate et nous avons prêté attention au financement des droits sur le phosphate. Cette deuxième partie se concentre, entre autres, sur les sociétés terrestres, les remises et les règles d'urgence.

Qu’en est-il des sociétés foncières et des réductions sur les droits de phosphate ?
Entreprises terrestres ne sont pas concernés par la réduction sur les droits de phosphate. Une entreprise est liée au système de droits sur le phosphate si tout le phosphate peut être confié à sa propre entreprise. En bref : quand il n’y a pas de surplus de phosphate.

Les transferts avant le 1er janvier 2018 ne bénéficient d'aucune réduction

Quand la réduction ne s’applique-t-elle pas pour les transferts d’entreprise ?
À l' transmissions d'entreprises qui ont été déclarés avant le 1er janvier 2018, les droits peuvent être transférés sans la réduction de 10 %. Après la date d'entrée en vigueur du système de droits sur les phosphates, cela n'est possible sans réduction que s'il existe une succession héréditaire, du sang et des affinités du premier au troisième degré.

Qu’arrive-t-il aux droits de phosphate et aux liens fonciers en cas de rachat d’entreprise ?
En cas de rachat, un nouveau numéro de Chambre de Commerce est créé. C'est une première pour l'Agence néerlandaise des entreprises (RVO.nl). Lorsqu'une reprise d'entreprise a un nouveau numéro de chambre de commerce, RVO.nl considère qu'il s'agit d'une nouvelle entreprise. Cette société n’existait pas encore au 2 juillet 2015.

Résultat : l’entreprise ne possédait aucun terrain au 2 juillet 2015 et n’est donc pas basée à terre. Par exemple : une entreprise dans laquelle père et fils forment un partenariat reste pratiquement inchangée, mais le numéro de la Chambre de Commerce change. Cela élimine tout lien foncier.

Le ministre Henk Kamp rapporte dans un Lettre au Parlement datée du 7 septembre 2017 que les entreprises dans lesquelles une reprise a eu lieu après le 2 juillet 2015 doivent toujours tenir compte de la situation telle qu'elle existait avant la reprise. Si ces entreprises étaient basées à terre, elles le seraient également dans la nouvelle situation et ne verraient pas leurs droits sur le phosphate réduits. Il indique que cela doit être réglé dans un AMvB (Arrêté Administratif Général), qui fixe également le pourcentage d'écrémage.

Les droits seront libérés quand nous serons de retour sous le plafond

Comment sont répartis les droits de phosphate ?
La proposition actuelle prévoit que les droits de phosphate transférés à hauteur de 10 % seront écumés et finiront dans une banque de phosphate. Ces quotas seront libérés lorsque la production de phosphate redeviendra inférieure au plafond. Les droits ne sont pas transférables. Les modalités de répartition des droits de phosphate n'ont pas encore été fixées par décret.

Ces droits sont dépensés sur des entreprises qui répondent à certains critères. Ceci comprend:

  • Les entreprises terrestres,
  • Degré de pâturage,
  • Encourager les jeunes agriculteurs.

Quelle est la relation entre le plan de réduction des phosphates en 2017 et le système de droits sur le phosphate en 2018 ?
Officiellement parlant, il n'y a aucune corrélation entre eux le plan de réduction des phosphates et le système de droits sur le phosphate. C'est la position de l'Agence néerlandaise pour les entreprises. Mais les deux partis reviennent à la date de référence du 2 juillet 2015. Si les agriculteurs sont exemptés du plan de réduction des phosphates, cela pourrait également avoir des conséquences sur le système des droits sur le phosphate.

1.757 XNUMX exploitations laitières inscrites au plan de réduction des phosphates en urgence. Cela représente environ 10 % du nombre de producteurs laitiers. L'accord avec le plan de réduction des phosphates, c'est aussi ça l'arrangement de goulot d'étranglement est assimilé à celui du système des droits sur le phosphate.

Le texte continue sous la vidéo.


Quel est le statut des règles d’urgence et l’effet de l’expansion ?
Les règles d'urgence du plan de réduction des phosphates correspondent aux règles du système des droits sur le phosphate. Une entreprise est classée en pénurie si sa production de phosphate est inférieure de 5 % en raison de :

  • Les travaux de construction,
  • Maladie ou décès d'une personne de la société,
  • Maladie ou décès d'un parent au premier degré,
  • Destruction des écuries.

En juillet, c'est le l'arrangement de goulot d'étranglement 2 situations ajoutées. Les entreprises peuvent désormais également être considérées comme un problème lorsque :

  • Il s'agit d'une start-up (démarrée entre le 1er janvier et le 2 juillet 2015) et produit au moins 10 % de phosphate en moins qu'en situation de pleine occupation. Ces starters reçoivent 50% de droits de phosphate supplémentaires sur la différence entre les animaux présents le 2 juillet 2015 et la capacité de l'écurie existante.
  • Ils ont dû faire face à l'agrandissement ou à la réalisation d'une réserve naturelle et/ou à la construction et à l'entretien d'infrastructures publiques. En raison de cette circonstance particulière, la production devra être inférieure d'au moins 2 % au 2015 juillet 5.

Le comité conclut que la remise générique Celui-ci augmentera de 1% et sera suffisamment réduit avec une remise générique de 8,3%.

C'était la deuxième partie de cette série en trois parties. La troisième partie sera en ligne mercredi 25 octobre, avec une attention particulière aux questions suivantes : quelle est la différence avec le quota laitier, qu'en est-il de l'écrémage générique et quel est le statut de la dérogation ?

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login