Le début de l’année 2018 approche à grands pas. Il n'est pas encore clair s'il y aura une dérogation aux normes d'utilisation de l'azote et si le système de droits sur le phosphate sera introduit. Ce n’est pas un obstacle à la demande de génisses et le prix des vaches de boucherie est également révélateur du climat laitier actuel. Chaque goutte compte.
Le ministre Henk Kamp (Affaires économiques) a annoncé une nouvelle augmentation de 10.000 XNUMX LSU à la mi-octobre. Encouragée par le meilleur prix du lait, mais aussi par nécessité, les importations de génisses, principalement d'Allemagne, augmentent. Des sources du commerce du bétail indiquent que de nombreuses génisses ont été importées d'Allemagne, notamment entre la mi-août et la mi-septembre.
La demande diminue
Cependant, la demande a commencé à diminuer ces derniers jours. Le prix élevé est principalement cité comme raison, mais on observe également une offre accrue de la part des producteurs laitiers néerlandais. En moyenne, le prix se situait entre 1.800 2.000 et XNUMX XNUMX €.
Non seulement la demande de génisses est à son apogée, mais le prix des vaches destinées à l’abattage semble également avoir atteint son apogée. A noter que 2017 s’avère encore une fois être une année particulière, car les prix sont au plus bas autour de cette période. Vee et Logistiek Nederland ont remis le prix vaches d'abattage U de 4,05 à 4,80 € le kilo à 2,40 à 2,75 € pour les vaches d'abattage P.
Légère augmentation du nombre d'abattages
Au cours de la semaine 41, le nombre d'abattages est passé à 13.491 1 vaches, ce qui signifie qu'un peu plus de vaches ont été abattues que la même semaine un an plus tôt. On prévoit que beaucoup plus de bovins seront disponibles en janvier. Cela est dû à la remise de 8,3% et à l’éventuelle augmentation des bouchons. Ce que le commerce n'attend pas avec impatience, car janvier est une période calme en termes de demande tant pour les vaches d'abattage que pour les vaches d'exportation.
Trop cher pour l'Angleterre
Entre-temps, il n’y a pratiquement pas d’exportation de génisses à courte gestation. Par exemple, les animaux sont jugés trop chers pour le marché britannique. L'indication de prix est fixée à 1.050 XNUMX €. Le taux de change de la livre sterling peut jouer un rôle à cet égard, mais un autre commerçant souligne le prix du lait. Ce chiffre est visiblement plus élevé aux Pays-Bas qu’en Angleterre.
À court terme, ce que nous réserve le 31 octobre est particulièrement excitant. Les producteurs laitiers obtiendront-ils gain de cause ou l’État gagnera-t-il ? Si l’État gagne, l’offre de bétail pourrait être importante. Dans l’autre scénario, il est réaliste de prendre en compte une demande plus élevée de génisses.