La graisse n'aide pas les trayeurs
« Le lait est toujours produit, n'est-ce pas ? »
Une action symbolique pour prendre des mesures à moindre prix du lait. A cet effet, l'European Milk Board (EMB) est intervenu jeudi 27 octobre devant le bâtiment de la Commission européenne (CE). Le prix du lait est bon et le lait est toujours produit, mais en arrière-plan, il y a des inquiétudes croissantes concernant la liquidité des producteurs laitiers européens.
"La vitesse à laquelle le nombre de crises dans notre secteur augmente est alarmante." Sieta van Keimpema, Silvia Däberitz et Karin Jürgens ont pris la parole. Le fil conducteur est que les réserves de nombreux producteurs laitiers ont été épuisées au cours des 2 dernières années, au cours desquelles le prix du lait a été faible à très faible.
Un gros prix deux fois plus élevé
« Le prix élevé du beurre ne s'est pas encore traduit par un prix du lait, dans lequel le prix de la matière grasse est deux fois plus élevé », déclare Van Keimpema en réponse au marché actuel. « Dans le même temps, nous constatons que le prix du beurre chute. L'Europe de l'Est a été la première région en 2 où les prix du lait ont commencé à baisser, suivie par d'autres États membres. C'est maintenant la région que nous devons surveiller de près. "
En raison de tous les développements aux Pays-Bas, l'Allemagne, le plus grand producteur de lait, est oubliée. « Là aussi, la production de lait, après la fin des quotas laitiers, a considérablement augmenté. Cela s'est traduit par la production d'un grand volume de fromage bon marché, ce qui n'a pas profité au marché », explique Karin Jürgens du Bureau de l'agriculture et de l'agriculture. Sociologie (BALL).
La réduction du lait était la bouée de sauvetage
La réduction du lait a rétabli l'équilibre, le ministère allemand exigeant que l'offre n'augmente pas avant avril. Depuis l'été, cependant, la taille du lac de lait a de nouveau augmenté. "En fin de compte, un éleveur laitier veut surtout traire plus", explique Hans Geurts, éleveur laitier et ancien président du syndicat néerlandais des éleveurs laitiers (NMV). Avec des délégués néerlandais, espagnols, danois, allemands, français et belges de l'EMB, ils ont essayé d'attirer l'attention politique sur la construction de la CE.
L'intervention et les organisations de producteurs ne suffisent pas, selon les représentants. Ce n'est que lorsqu'il y a eu moins de lait que le prix du lait a commencé à augmenter. Coïncidence ou pas ? L'EMB considère cela comme une preuve suffisante de ce que Phil Hogan devrait chercher à établir un bon filet de sécurité pour l'élevage laitier moderne. Cependant, il n'y a pas encore d'écoute. Däberitz illustre cela. Les politiciens affirment que le lait est toujours produit et qu'il n'y a donc pas de problème. "En revanche, en Allemagne, 2 7.000 éleveurs laitiers ont disparu en environ XNUMX ans", explique Jürgens.
Le lait français d'abord
La France, quant à elle, prend ses propres mesures ; sous forme de lait français d'abord. "Et puis nous n'avons même pas mentionné la perturbation du marché causée par le Brexit", explique Van Keimpema. "Il existe une politique agricole commune, mais en raison des mesures prises par les différents États membres, on peut encore se demander dans quelle mesure la politique est commune. Cependant, il est nécessaire que les producteurs laitiers présentent à nouveau 1 plan."
L'approvisionnement européen en lait est supérieur aux chiffres de 2016 et à la moyenne sur 5 ans.
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Herman van den Pol
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