La plupart des feux d'artifice dans le domaine de l'azote cette semaine sont venus de la Chambre des représentants, où le NPLG et la politique de l'azote ont été débattus. Les parlementaires se déchaînent en vue des élections du Conseil provincial du 15 mars. Tjeerd de Groot, membre du D66, a souvent semblé être le seul défenseur de la politique du cabinet, tandis que les autres députés de la coalition ont surtout souligné leurs écarts par rapport à celle-ci. Au cours de ce débat, il est également devenu clair que l'incertitude quant à l'avenir de l'agriculture demeure plus grande que jamais. Dans notre rubrique hebdomadaire Nitrogen Mood, nous donnons un aperçu de la crise de l'azote à notre manière.
Un site Web spécial pour les chargeurs de pointe sera lancé en avril, mais il ne vous dira pas si vous êtes ou non un chargeur de pointe. Il devrait cependant contribuer à réduire le nombre de pics de charge. Selon la ministre de la Nature et de l'Azote Christianne der Wal, une telle liste n'existe pas. "Au moins, j'ai dit que je ne voulais pas de liste. Je ne connais pas de liste, je ne veux pas en voir et je ne veux pas en avoir", a-t-elle déclaré jeudi soir.
Eh bien 3000 chargeurs de pointe, pas de liste
Néanmoins, le gouvernement doit savoir d'une manière ou d'une autre qui sont ces 3.000 120 chargeurs de pointe, car ils sont éligibles au régime Lbv+ (Régime National de Rupture de l'Elevage) qui leur rembourse 10.000 % des droits de production. A condition que Bruxelles approuve ce règlement, mais selon le ministre, "tous les signaux sont au vert". Elle prévoit de publier le schéma en avril. Pour la LVB « ordinaire », 100 XNUMX décrocheurs sont éligibles et XNUMX % sont versés.
Peak loader peut aussi rester ?
Les chargeurs de pointe qui ne prennent aucune mesure avant le 31 décembre de cette année (choisissent de bouger, d'innover ou d'arrêter) ne sont pas automatiquement éligibles à ce qu'on appelle par euphémisme un "ensemble d'instruments obligatoires", selon les réponses du ministre de l'azote. "C'est hors de question, car cela reste du sur-mesure pour chaque territoire, en fonction de l'état de la nature (...) S'il y a beaucoup d'entrepreneurs dans une certaine réserve naturelle qui utilisent la Lbv, il se pourrait théoriquement que nous ont ainsi fait une brèche suffisante dans le dépôt et n'ont donc pas à passer aux instruments obligatoires pour un chargeur de pointe qui est présent dans cette zone et qui n'a pas fait de choix jusque-là."
Plus de luminosité vers l'été
À quoi devrait ressembler cet ensemble d'instruments obligatoires (expropriation ou retrait de permis) pour les chargeurs de pointe dans les zones naturelles où, de l'avis du gouvernement, trop peu d'azote a été réduit, et lorsque les procédures seront lancées à cet effet, le ministre veut plus sur ce 'vers l'été' apportent des éclaircissements. Ensuite, elle décrira également les mesures que le gouvernement peut prendre si certaines provinces s'enfoncent dans le sable. Les provinces doivent déposer leurs programmes de zone le 1er juillet.
En plus de s'arrêter, les agriculteurs peuvent également choisir de se déplacer et d'innover. Van der Wal a mentionné la Lely Sphere à quelques reprises, mais a dû admettre que cette innovation n'est pas (encore) garantie par la loi.
"Dans les délais" avec l'accord sur l'agriculture
Entre-temps, les consultations sur un vaste accord agricole se sont poursuivies. Il ne s'est pas passé grand-chose d'excitant cette semaine. Le ministre de l'Agriculture Piet Adema a noté que tout se déroulait comme prévu. Les participants aux tables de concertation l'ont remarqué plus souvent au cours des dernières semaines. Le calendrier a été strictement appliqué par le modérateur Wouter de Jong, mais les progrès substantiels sont moins clairs. Les parties sont invitées à apporter leurs contributions, mais les réactions laissent beaucoup à désirer. On se plaint également d'une séparation trop stricte des tables d'honneur et d'appoint. Les parties se plaignent de ne pas savoir où en est la situation.
Adema veut de l'argent de Van der Wal ?
Il y a aussi des signes que tout le monde n'a pas confiance dans le succès des discussions officielles aux tables agricoles et que des consultations se déroulent encore plus loin. Par ailleurs, le ministre Adema souhaiterait utiliser une partie des milliards de dollars du ministre Van der Wal pour rendre les organisations agricoles plus accommodantes. Par exemple, en leur promettant une compensation pour des services « verts » et « bleus », disons : pour l'entretien de la nature et la gestion de l'eau. Van der Wal ne le voudrait pas, selon les médias de La Haye.
L'histoire est en cours d'ajustement
Van der Wal semble également occupée ces dernières semaines à régler son histoire d'azote. Elle s'exprime plus nuancée sur Aerius, sur les critères d'un bon état de conservation de la nature, veut regarder différemment les chargeurs de pointe et autres. Il semble qu'elle veuille répondre au procès sur le modèle à l'azote qui sera entendu la semaine prochaine et veut couper le vent des voiles des plaignants. Reste à savoir si cela aide.
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[url = https: // www.boerenbusiness.nl/artikel/10903076/mist-rond-piekbelasters-en-onvrede-seat arrangement]Brume autour des pics d'imposition et disposition des tables de mécontentement[/url]