NSC

Analyse Mest

Le langage pointu du fumier Holman s'avère être principalement une « analyse »

8 Octobre 2024 -Klaas van der Horst - Commentaires 4

Pas de remise générique, mais temporairement (par exemple un an) un grand nombre de vaches laitières sont retirées de la production. C'était l'une des propositions faites lundi par le député du NSC, Harm Holman, lors d'un débat sur le fumier avec le ministre Wiersma du LVVN. Il renforce sa position de leader d’une coalition anti-fumier.

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Holman a effectivement tracé une limite nette, mais selon lui, il s'agissait d'une analyse du problème du fumier dans son ensemble. "Il faut faire quelque chose, sinon un désastre financier menace le secteur."

Plan de secteur incomplet
Selon lui, le projet de retirer temporairement un grand nombre de vaches de la production est venu « du secteur ». Après enquête, il s'agit d'un plan du G7 (organisations paysannes, NZO et ZuivelNL) qui n'est pas encore achevé et n'a pas été testé dans la réalité. Aussi fou que cela puisse paraître, ils proposent de retirer temporairement les vaches de la production, mais contre une sorte de « compensation des temps d'arrêt ». Ils souhaitent également des ajustements alimentaires et des normes de fumier différentes pour les zones contaminées par des nutriments (NV) et les zones situées à l'extérieur de celles-ci.

Pas ce qu'il semble
Même si Holman ne le pensait pas comme il le paraissait, son projet n'a pas reçu beaucoup de soutien public au sein du groupe des partis au pouvoir. Et même si Holman déclare ensuite que le ministre le suit, cela n'est pas vraiment apparu lors du débat de lundi. 

Holman fait rayonner Bromet
Le porte-parole du NSC pour l'agriculture, Harm Holman, s'est présenté comme l'un des députés les plus critiques, et il s'entendait particulièrement bien avec la députée de GroenLinks/PvdA, Laura Bromet. Ou peut-être qu'elle est avec lui. Bromet a écouté Holman avec un sourire rayonnant pendant le débat et n'a apparemment eu qu'à adopter le point de vue de Holman selon lequel une action supplémentaire rapide était nécessaire. D’autres députés de l’opposition n’ont pas tardé à soutenir Holman.

Protecteurs de paysans
Entre-temps, les députés de GroenLinks/PvdA, D66, SP et du Parti pour les Animaux ont pris soin de ne pas attaquer les agriculteurs eux-mêmes. Ils ont notamment exprimé leur inquiétude quant au sort des éleveurs qui, selon eux, doivent être protégés contre les projets presque imprudents du ministre Wiersma. Cela ne ferait que les ramener avec un réveil brutal.

Solution avant dérogation
Holman met également en garde contre ce dernier cas. Il est pressé, très précipité, et souhaite une solution anticipée au problème du fumier, avant même que Wiersma (BBB) ​​​​tente d'obtenir une éventuelle nouvelle dérogation à Bruxelles. En fait, une dérogation ne serait plus nécessaire, mais le membre du NSC ne l’a pas dit. Wiersma a rappelé que PVV, VVD, NSC et BBB étaient convenus dans l'accord principal qu'une nouvelle dérogation serait demandée. Cependant, Holman ne semblait pas s'en soucier. 

Robinet qui fuit sur un navire en perdition
Il a clairement exprimé sa position à l'aide d'images trempées d'humidité : le robinet qui fuit du navire sans gouvernail qui coule sur un réservoir rempli de fumier doit être fermé, et d'ailleurs maintenant. Il souhaite également s’attaquer rapidement à la fraude aux engrais qu’il constate.

Les partis au pouvoir ne sont pas une coalition de fumier
Au cours du débat, il est apparu clairement que les quatre partis qui soutiennent le gouvernement actuel ne fonctionnent pas comme une coalition, tandis qu'un allié logique dans le domaine agricole comme le SGP est également très critique à l'égard des projets de Wiersma. Le SGP, notamment avec le VVD, se demande pourquoi, selon eux, l'élevage de porcs et de volailles devrait être touché de manière disproportionnée par le détournement des droits des animaux lors des échanges commerciaux, alors que l'élevage laitier semble être principalement abordé de manière pro forma dans à cet égard.

Pour le reste, le VVD, ainsi que ses anciens partenaires de coalition ChristenUnie et CDA, semblent légèrement sceptiques quant à savoir si Wiersma est trop optimiste quant à sa solution aux problèmes de fumier. Le PVV et son propre parti, le BBB, se sont montrés les moins critiques.

Petits gains
L'un des rares points d'accord semble être le renforcement du système de bouchons, mais le ministre n'a fait aucune promesse concrète à ce sujet non plus. Concrètement, le débat a abouti à quelques engagements mineurs : la ministre accepte une correction un peu plus élevée des pertes gazeuses, éventuellement aussi pour les stocks de puits à partir du 1er janvier 2025, et elle souhaite ajuster les normes d'excrétion des bovins laitiers. , ce qui fournira plus d'espace pour le phosphate.

Pas un amendement menaçant
Le débat sur le fumier à la Chambre des représentants avec le ministre Wiersma se poursuivra dans un mois, mais les signes ne laissent entrevoir ni une solution facile ni une approche claire pour résoudre le problème du fumier.

Pour l’instant, Holman maintient sa proposition de modification de la loi visant à rendre rapidement l’élevage entièrement terrestre, mais selon lui, cela ne doit pas être considéré comme une menace pour l’élevage intensif. Il s'agit plutôt d'une sorte d'assurance supplémentaire, explique Holman. L'amendement n'a pas encore été déposé.

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