Commission européenne

Fond Humeur azotée

Le retrait du fumier reste une patate trop chaude pour le secteur

1 Novembre 2024 -Klaas van der Horst

Les vacances d'automne garantissent une semaine politique relativement calme. Pas de débats parlementaires et pratiquement pas de lettres de ministres. Pourtant, ce n’est pas complètement silencieux. Les organisations agricoles communes, connues sous le nom de G7, et l'organisation faîtière du secteur laitier NZO tentent de parvenir à un accord à la Chambre des représentants avant le débat sur les engrais du 7 novembre sur la manière de respecter le nouveau plafond d'engrais pour 2025.

Souhaitez-vous continuer à lire cet article ?

Devenez abonné et obtenez un accès instantané

Choisissez l'abonnement qui vous convient
Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

C'est un cliché de dire qu'il s'agit d'un défi : sept organisations paysannes qui doivent se mettre d'accord entre elles et ensuite les laiteries. Il y a beaucoup de discussions en cours, surtout dans le domaine de la production laitière et des produits laitiers, car c'est là qu'il y a le plus de frictions et les plus grandes divisions.

Manipulez de préférence le couteau vous-même
Pour l’agriculture, cependant, cette division est une évidence. Ils doivent se contenter de cela et essayer de s'entendre, ou pas ?
Le BBB, le parti des deux ministres du ministère du LVVN, veut à tout prix empêcher une réduction forcée du cheptel. L’option politique privilégiée est donc de laisser l’agriculture et les produits laitiers utiliser eux-mêmes le couteau. Après tout, une réduction des effectifs est nécessaire.

Le pot est prêt
La ministre Femke Wiersma disposerait d'environ 250 millions d'euros pour une approche soutenue. L'élevage laitier et l'industrie laitière doivent également réunir 20 millions d'euros de leurs propres fonds pour aider temporairement (trois ans) à retirer du marché un grand nombre de vaches laitières. Une taxe pourrait être imposée pour la collecte via le NZO ou la ZuivelNL, si le cabinet l'autorise.

L'idée est d'acheter les vaches les plus âgées de tous les agriculteurs, y compris les droits sur le phosphate, et de les compenser pour la perte de production. Le coût total serait de 6.000 7.000 à XNUMX XNUMX € par animal. Il reste à déterminer si cela ne constitue pas une aide d’État, mais comme il s’agit d’une mesure environnementale, cela ne poserait pas de problème.

La question demeure : les organisations peuvent-elles s’entendre sur le plan, et le souhaitent-elles ? Tout le monde n’est pas du même avis et il y a aussi des partis qui préfèrent que le ministre explique pourquoi et où la réduction est nécessaire, entend-on. Il reste cependant encore quelques jours et s'il n'y a définitivement pas d'accord de branche, le BBB peut au moins dire que tout a été fait pour éviter une démarque forcée.

Les entreprises exercent également de fortes pressions pour atténuer davantage les dégâts causés par la contraction, notamment en modifiant certains facteurs de calcul. Une telle chose pourrait s’expliquer scientifiquement et ne rencontrerait pas nécessairement d’objections à Bruxelles. Cela réduit également la résistance dans le secteur et coûte moins cher. Cependant, la ministre et ses collaborateurs doivent continuer à travailler dans ce sens.

Aucune affaire à faire à Bruxelles pour l’instant
Entre-temps, Wiersma et le secrétaire d'État Jean Rummenie restent en contact avec la Commission européenne. Tous deux se sont rendus à plusieurs reprises à Bruxelles, mais ils ne peuvent pas encore faire de véritables affaires, mais ils peuvent créer une entente entre leurs collègues ministres d'autres pays et éventuellement avec des fonctionnaires. Pour le reste, il s’agit surtout d’attendre que la nouvelle Commission européenne soit installée. L'ancien comité est en fait sortant.

radar de pluie
Propulsé par Agroweer

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login