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Fond Humeur azotée

La Commission scolaire est pressée, mais a également besoin d'argent ?

7 février 2025 -Klaas van der Horst - Commentaires 3

Le Comité ministériel des affaires économiques et de la restauration de la nature (MCEN), également connu sous le nom de Comité Schoof Nitrogen, accélère le processus. Du moins, d’après les rumeurs qui l’entourent. La grippe du Premier ministre ne semble pas causer de retards dans les travaux des dix ministres et des deux sous-conseils. Cependant, aucune annonce officielle n’a encore été faite.

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Bien que ce comité ne soit opérationnel que depuis trois semaines, il semble qu'il aura bientôt donné naissance à sa première couvée. Un terme bien connu pour les éleveurs de volaille, mais là n'est pas le sujet. La Commission souhaite proposer de limiter les émissions d’azote à 26 % et de fixer également une limite arithmétique inférieure de 1 mol. De plus, un zonage sera mis en place autour des zones naturelles vulnérables. Les objectifs de la loi sur la réduction de l’azote et l’amélioration de la nature seront transformés en obligations d’effort.

À première vue, tout cela ne semble pas très excitant. Cette réduction de 26 % a également été mentionnée auparavant et un groupe de chercheurs de Wageningen le pense également un bon plan pour pouvoir se connecter. De plus, le fait qu’il existe enfin une limite inférieure arithmétique plus « normale » est formidable, du moins pour les journalistes du PAS, n’est-ce pas ?

Des milliards pour 1%
La discussion au sein du cabinet n’est pas encore terminée. On pense également à un nouveau plan de rachat et même la fameuse carte Van der Wal serait à nouveau sur la table à certains moments. Mais il faut aussi tenir compte du montant que vous devez parier pour quel résultat. Celui qui sait qu’une réduction de 1 % des émissions par les achats coûtera rapidement 3 ou 4 milliards d’euros comprendra que le gouvernement doit lui aussi garder la tête froide, même si la pression est forte pour faire à nouveau de grands gestes.

Pendant ce temps, des clubs largement financés par le gouvernement lui-même, comme la ministre de l'Alimentation de la Coalition de transition Femke Wiersma, font également du lobbying. juste pour céder à une transformation de l'élevage.

Les grands clubs sont généralement calmes
Les principales organisations agricoles restent pour la plupart silencieuses. Peut-être que LTO Nederland et le NAJK n'ont pas le droit de dire quoi que ce soit parce qu'ils sont impliqués dans la consultation sur les plans de la Commission Schoof. Ce ne serait pas la première fois. Peu d’organisations agricoles ont fourni une vision étayée de ce qui doit être fait.

Agraction en fait partie, même s'il ne dispose pas d'un appareil comme les plus grands. Et pourtant c'est précisément cela une lettre solide et bien argumentée écrit au comité. Agractice craint que le gouvernement élabore des plans basés sur des sables mouvants, car de nombreux éléments ne sont pas basés sur les bons principes. 

LVVN ne veut pas connaître SSC
La Nitrogen Claim Foundation (SSC) a également un point de vue critique et l'exprime lors de réunions dans le pays. Cependant, la SSC est officiellement presque complètement ignorée par le gouvernement, malgré le fait qu’elle compte plus de 3.200 XNUMX membres. Le ministère de la LVVN refuse même de confirmer que le SSC a envoyé une demande pour être reconnu comme avocat officiel et être autorisé à participer aux discussions politiques. Nitrogenclaim a donc même eu recours à une action en justice.

Domestiqué
Du point de vue du ministère, cette attitude de muet à l'égard des lobbyistes critiques est peut-être compréhensible. Il est plus facile de consulter des organisations plus flexibles, telles que LTO et NAJK. Ce dernier était autrefois un groupe rebelle qui pouvait pénétrer dans la tour du Premier ministre si nécessaire. En comparaison, la NAJK est aujourd’hui un organe consultatif complètement domestiqué, dont les administrateurs ont bien plus en commun avec un fonctionnaire qu’avec un simple agriculteur.

Etat de la nature ici et en France
Retour à la couvée de la Commission Schoof. Les organisations agricoles les plus critiques ne sont pas rassurées par les résultats. Car si ce qu’ils craignent se réalise, de nombreuses entreprises devront faire faillite. Aussi parce que la nature semble acquérir un statut de plus en plus élevé et intouchable. C’est peut-être très typique des Pays-Bas d’aujourd’hui.  
Ce qui se passe actuellement en France ne serait pas possible ici. Le gouvernement tente de modifier les lois de manière à ce que les agriculteurs qui causent involontairement des dommages ne soient pas immédiatement confrontés à de graves conséquences. Les agriculteurs peuvent être condamnés à une peine de prison allant jusqu'à trois ans ou à une amende de 150.000 XNUMX euros pour avoir, par exemple, labouré le château d'une espèce animale protégée. Le projet du nouveau ministre français de la Nature et de l'Environnement est d'introduire des sanctions moins lourdes. Les organisations de protection de la nature sont sur le qui-vive, mais le plan semble se poursuivre.

Statistiques versus patients
Aux Pays-Bas, la société semble avoir de plus en plus peur de l’agriculture. Voir aussi la discussion actuelle sur l'élevage de chèvres. Le ministère de la Santé souhaite restreindre sévèrement ce secteur car il craint qu'il représente une menace pour la santé publique. Elle s'appuie sur les recherches du RIVM, qui se basent principalement sur des données statistiques concernant les personnes tombées malades. La Fondation Agrifacts est partie à la recherche des patients derrière les statistiques, mais ces gens se sont avérés introuvables. Ce n’est pas un problème pour le ministère. Apparemment, il préfère les statistiques aux vraies personnes.  

BBB Blues et Borders
À tous les dilemmes et discussions de cette semaine s’est ajoutée la nouvelle de fissures et de fissures croissantes dans les rangs du BBB. La dissolution de la faction des États d'Overijssel a attiré le plus d'attention. Il ne semble pas que ce soit dû à des différences de ligne partisane, mais plutôt à un manque de discipline interne et à une confusion d’intérêts personnels et politiques. Certains partis et factions ont désigné des personnes pour s’assurer que tout le monde se conforme aux règles, mais ce n’est pas le cas du BBB. À court terme, il sera toutefois plus intéressant de voir ce qui adviendra du BBB lorsqu'une véritable décision devra être prise par la Commission Schoof. Avec quoi peut-elle vivre, et avec quoi ne peut-elle absolument pas vivre ? La réponse dépendrait principalement de la vice-première ministre Mona Keijzer.

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