L'entreprise agricole fête cette année ses 10 ans. Dans le cadre de cet anniversaire, nous publions sur Boerenbusiness diverses interviews de fidèles abonnés de Boerenbusiness. Quels développements, opportunités et menaces voient-ils ? Cette fois, c'est au tour de l'agriculteur Rob Meeuwissen (37 ans).
1. Qui êtes-vous et quel type d'entreprise avez-vous ?
"Je m'appelle Rob Meeuwissen, j'ai 37 ans et je viens de Gastel, un petit village entre Eindhoven et Weert. J'ai une ferme arable d'environ 205 hectares avec principalement des pommes de terre en plan de culture. J'ai loué la branche porcine."
2. Qu'est-ce qui vous a poussé à souscrire à un abonnement il y a 10 ans ? Cela a-t-il affecté votre entreprise ?
« Je pense que nous avons évolué du monde DCA au monde Farmer's Business, qui a ensuite été scindé. Nous en sommes même membre depuis plus de 10 ans. Nous participons au marché à terme de la pomme de terre, c'est pourquoi nous avons choisi d'être informés. immédiatement. de rester et d'être membre de vous.
3. Quelle page de Boerenbusiness ouvrez-vous toujours en premier ?
"La page pomme de terre !! Et la page marché à terme."
4. De quelle évolution (au cours des 10 dernières années) êtes-vous le plus fier dans votre entreprise ?
« Ces dernières années, nous nous sommes principalement concentrés sur une productivité et une qualité accrues à la ferme et sur une meilleure répartition des risques entre les acheteurs de pommes de terre. Nous avons également répondu à la collaboration avec les éleveurs de bétail de la région. Cela se traduit par des prix de revient plus bas et une situation gagnant-gagnant. en ce qui concerne le fumier animal. que nous pouvons utiliser et le maïs qu'ils peuvent utiliser et qu'il me reste. Donc une sorte d'agriculture circulaire. "
5. Qu'est-ce qui vous gêne le plus dans votre activité actuelle et pourquoi ?"
"Réglementations !! En tant que secteur, nous sommes de plus en plus gênés dans ce domaine. Donner aux agriculteurs la possibilité de résoudre eux-mêmes le problème en consultation avec le secteur agricole. Je pense que c'est bien plus important que cette vision à courte vue du gouvernement."
6. Où voyez-vous le plus d'opportunités pour votre entreprise et pourquoi ?
"Je pense qu'en tant que producteur de pommes de terre, vous devriez pouvoir saisir l'opportunité de livrer des pommes de terre à vos clients presque toute l'année tout en conservant une certaine répartition des risques et du travail. C'est ce sur quoi je me concentrerai dans les années à venir. . .
J'ai également choisi de cultiver mes propres plants de pommes de terre (ATR). C'est aussi quelque chose que j'apprécie (plus de 8 ans). Cela me permet de garder un œil attentif sur la qualité dès le début du cycle, ce qui se traduit par un rendement plus élevé et un prix de revient inférieur. »
7. Êtes-vous un entrepreneur « en ligne » ou attachez-vous encore une grande valeur aux informations sur papier ?
"Je suis un entrepreneur en ligne ! J'ai grandi avec les ordinateurs, donc oui, on peut facilement perdre des papiers, je ne pense pas que ce soit très structuré. Placez immédiatement tout au bon endroit dans les dossiers (numériques)."
8. Qui dans l'agriculture vous complimente ?
"C'est une question difficile. Avant de vous en rendre compte, vous donnez un coup de pied dans les tibias de quelqu'un... Je dirais les agriculteurs eux-mêmes, car ils travaillent 24 heures sur 7, XNUMX jours sur XNUMX et cela devrait être apprécié par le consommateur."
9. Où en sera votre entreprise dans 10 ans et serez-vous toujours abonné ?
"Tout d'abord, j'espère rester en bonne santé !! Mais si cela ne me gêne pas, je pense que je vais l'optimiser un peu. Développer un peu l'entreprise dans le stockage de pommes de terre (de semence), mais certainement pas encore beaucoup d’hectares ! Et bien sûr je resterai alors m’abonner… »
10. Si j'étais rédacteur en chef de Boerenbusiness alors...
"Je baisserais les frais d'abonnement et organiserais un barbecue annuel pour les abonnés réguliers."
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