Les producteurs laitiers qui gèrent consciemment la culture du fourrage grossier obtiennent invariablement des rendements plus élevés. Cela devient clairement visible avec le Guide du Cycle. On ne peut plus rien camoufler avec une surfertilisation, c'est désormais une question d'artisanat.
Ce savoir-faire commence par se concentrer sur le sol et le ressentir. Les aspects suivants sont centraux :
La matière organique est le moteur
La matière organique joue le rôle de moteur du sol. Une quantité suffisante de matière organique est importante pour la structure, la maniabilité, l’équilibre de l’air et de l’eau, la liaison et l’apport de nutriments ainsi qu’une vie saine du sol.
Une culture de maïs ensilage extrait en moyenne du sol 2.500 3.000 à XNUMX XNUMX kg de matière organique, soit plus que les résidus de culture et l'apport d'engrais organiques. La rotation des cultures et une culture dérobée réussie éliminent la pénurie.
Rotation des cultures pour la conservation de la matière organique
La culture continue est par définition défavorable à toutes les cultures. La rotation du maïs ensilé avec de l'herbe, des cultures arables, des betteraves fourragères ou des féveroles offre de grands avantages, notamment :
Economique sur la structure
Les dommages à la structure du sol entraînent une perte immédiate de rendement. Cet effet a été particulièrement visible après les fortes averses de 2016. Ne cultivez les terres de maïs qu’au printemps dans de bonnes conditions. Parfois, cela signifie faire preuve de patience. Semez une variété de maïs mûre début septembre sur la parcelle concernée pour éviter le boueux à la récolte.
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