Si des effets environnementaux excessifs sont mesurés dans une culture, une législation sera introduite. Dans le programme d'action de la sixième directive sur les nitrates, cela est répété pour le maïs. Selon Claude van Dongen, titulaire du portefeuille Soil and Water Quality chez LTO Nederland, cela nécessite une nouvelle façon de penser : "Regardez le maïs dans l'ensemble de votre système agricole."
Van Dongen : « Ne soyez pas aveuglé par le rendement du maïs de cette année, mais regardez le rendement total du fourrage grossier, l'utilisation des minéraux et la préservation de votre sol. La fertilisation est une question d'utilisation : regardez la parcelle et la culture spécifique où se trouve le fumier. Par exemple, dans les prairies accidentées, le maïs peut se passer de lisier pendant la première année et l'utilisation sur les prairies est beaucoup plus élevée.
Faites tout correctement
Van Dongen ne considère donc pas les nouvelles mesures comme une menace majeure. « Le maïs peut toujours être cultivé avec ces normes. Il suffit d'affiner et de tout faire correctement dans la culture : semer des variétés plus précoces, être critique sur le choix de la parcelle, veiller au pH et à l'apport de potassium et cultiver une bonne culture dérobée."
Lampes sur mesure
LTO Nederland se concentre désormais sur des solutions régionales sur mesure. "Avec une politique spécifique par entreprise, nous pouvons faire beaucoup plus pour limiter la lixiviation. Nous devrons le prouver durement à Bruxelles, sinon la législation ne fera que devenir plus stricte."