Le marché des céréales a connu davantage de positivité au cours des deux dernières semaines. Le marché physique a augmenté et les échanges sur les marchés à terme se sont intensifiés. Qu'est-ce que cela provoque ?
Avec un rendement de blé de 8.700 172.000 kilos de blé par hectare cette saison, les Pays-Bas figurent parmi les premiers producteurs européens. Avec une superficie de 1,5 XNUMX hectares, cela représente une récolte de XNUMX million de tonnes.
Nous constatons également des récoltes abondantes ailleurs, mais des superficies en diminution. Le Conseil international des céréales (CIG) estime une récolte brute de céréales de 2017 millions de tonnes pour la saison 2018/301,7, soit une augmentation de 4,681 millions de tonnes par rapport à l'année dernière.
L'exportation ne se fait pas automatiquement
Les exportations européennes ne sont pas encore automatiques. Entre le 25 et le 31 octobre, 372.507 25 céréales ont été exportées (y compris les déclarations faites avant le 86.922 octobre mais non encore transformées), dont 132.583 500.424 tonnes de blé tendre et 137.525 283.601 tonnes d'orge. Au cours de la même période, 2017 18 tonnes de céréales ont été importées, dont 3,0 8,5 tonnes de blé et XNUMX XNUMX tonnes de maïs. L'Union européenne (UE) est un exportateur net de XNUMX millions de tonnes de céréales au cours de la saison XNUMX/XNUMX, contre XNUMX millions de tonnes pour la même période de la saison dernière.
Percée
Les États-Unis sont également aux prises avec des chiffres d’exportation décevants. Cela est principalement dû à la hausse du dollar, mais la récolte réussie du soja exerce également une pression sur les prix du maïs et du blé. Pourtant, les analystes ne sont pas négatifs. Du moins, pas à propos du Matif. Malgré l'évolution modérée des prix ces derniers temps, on s'attend à une percée à partir du sommet de 167 €.