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Le marché européen du blé ne progresse pas encore comme celui des États-Unis

21 mars 2019 -Anne Jan Doorn

Après que le marché européen du blé ait affiché une hausse la semaine dernière, le prix du blé reste stable cette semaine. En revanche, la hausse se poursuit aux États-Unis. Cela est dû en partie à l'accord entre les États-Unis et le Brésil.

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L'accord entre le Brésil et les États-Unis permet au Brésil d'importer 750.000 XNUMX tonnes de blé en franchise de droits. Cela a provoqué une augmentation des prix, principalement due à la gros stocks aux Etats-Unis. La CBoT de Chicago en a profité, mais le Matif de Paris n'a pas pu suivre. Il a clôturé le mercredi 20 mars, juste en dessous de 190 € la tonne, où le CBoT est passé de 11 $ la tonne à plus de 155 $ la tonne depuis la semaine 170.

Conditions météorologiques extrêmes
Dans quelle mesure conditions météorologiques plus extrêmes le lien avec cela aux États-Unis n'est pas clair. D'un autre côté, il est déjà apparu clairement que les principales zones productrices de céréales ont été touchées, ce qui laisse présager une baisse des rendements dans ces États. Par ailleurs, les stocks de blé et de maïs ont également été affectés par ces inondations.

Cependant, des informations continuent de nous parvenir en Europe selon lesquelles les rendements sont bons ; Par exemple, la récolte de blé allemande est estimée cette année en hausse de 20 %, ce qui s'élèverait à 24,2 millions de tonnes. En 2018, cela représentait « seulement » 20,3 millions de tonnes.

Facteurs favorables
Outre les bonnes attentes concernant la nouvelle récolte, il existe encore un certain nombre de facteurs de soutien des prix sur le marché européen. Par exemple, les exportations de blé vers les pays tiers se portent mieux que prévu. Par ailleurs, l'agence gouvernementale FranceAgriMer a augmenté les attentes d'exportation de l'ancienne récolte, ce qui réduira les stocks de clôture en France.

Parallèlement, il semble que les exportations russes soient en baisse. Selon les analystes locaux, les agriculteurs russes trouvent la baisse des prix trop extrême. Ils attendent donc pour vendre, ce qui est bénéfique pour les exportations européennes. 

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