Het WASDE-rapport van het Amerikaanse landbouwministerie (USDA) over december wordt door de granenmarkt gezien als het betere knip-en-plakwerk. De cijfers over de internationale handelsbalans zijn wat betreft granen vrijwel identiek aan de maand ervoor.
Les négociants en bourse avaient déjà intégré des chiffres largement inchangés, ce qui signifie qu'il n'y a eu pratiquement aucune réaction sur les marchés à terme. Des changements significatifs dans les chiffres de production et de stocks prévus par l'USDA ne sont pas attendus avant janvier.
Le marché maintient le cap
En Europe, le contrat de décembre pour la mouture du blé a expiré à 181 € sans pratiquement aucune négociation. Le contrat de mars s'est clôturé à 183 € la tonne. Le prix record de 186,25 € semble donc bien éloigné. Les contrats à terme CME ont également peu bougé. Le blé, le maïs et le soja ont terminé en légère hausse.
Comme mentionné, les chiffres sont souvent copiés-collés. La production américaine de maïs est toujours estimée par le ministère à 13,66 milliards de boisseaux. La superficie récoltée reste également à 81,8 millions d'acres (33,1 millions d'hectares). Pour le soja, une récolte de 3,55 milliards de boisseaux est attendue.
Moins de superficie
Le stock final de blé (pour août 2020) est fixé à 974 millions de boisseaux, contre 1 milliard de boisseaux en novembre. Cela pourrait indiquer qu’une réduction de la production de blé commencera aux États-Unis le mois prochain. L'USDA fait également une estimation pour la zone l'année prochaine et des attentes pour l'Europe, entre autres. Le marché des céréales suit actuellement avec grand intérêt la situation en Europe. Selon de nouveaux chiffres, 5 % des superficies de blé prévues en France et au Royaume-Uni ne sont pas ensemencées en raison des mauvaises conditions météorologiques.
On estime que la production de blé en Australie, au Canada et en Argentine est inférieure. La production et les exportations de la Russie sont revues à la hausse d'un demi-million de tonnes, ce qui soulève des questions sur le marché compte tenu de la lenteur des exportations et des prix record du blé.
Sécheresse en Amérique du Sud
Un autre point d’entrée pour les fluctuations du marché est la situation en Amérique du Sud. La sécheresse en Argentine en particulier laisse présager une baisse de la production de maïs. Les commerçants s’attendent à ce qu’en raison de la saisonnalité, les prix du maïs augmentent légèrement. Les prix du soja sont principalement soumis aux problèmes commerciaux politiques entre les États-Unis et la Chine.
Outre une superficie réduite en blé d'hiver, le marché européen du blé peut compter sur des exportations positives. Les résultats des appels d'offres égyptiens du GASC montrent que deux acteurs français sont en compétition pour les prix. Le blé russe est compétitif en partie grâce à la baisse des coûts de transport. Le volume des exportations européennes de blé cette saison est supérieur d'un tiers à la moyenne sur trois ans
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Les négociants en bourse avaient déjà intégré des chiffres largement inchangés, ce qui signifie qu'il n'y a eu pratiquement aucune réaction sur les marchés à terme. Des changements significatifs dans les chiffres de production et de stocks prévus par l'USDA ne sont pas attendus avant janvier.
Le marché maintient le cap
En Europe, le contrat de décembre pour la mouture du blé a expiré à 181 € sans pratiquement aucune négociation. Le contrat de mars s'est clôturé à 183 € la tonne. Le prix record de 186,25 € semble donc bien éloigné. Les contrats à terme CME ont également peu bougé. Le blé, le maïs et le soja ont terminé en légère hausse.
Comme mentionné, les chiffres sont souvent copiés-collés. La production américaine de maïs est toujours estimée par le ministère à 13,66 milliards de boisseaux. La superficie récoltée reste également à 81,8 millions d'acres (33,1 millions d'hectares). Pour le soja, une récolte de 3,55 milliards de boisseaux est attendue.
Moins de superficie
Le stock final de blé (pour août 2020) est fixé à 974 millions de boisseaux, contre 1 milliard de boisseaux en novembre. Cela pourrait indiquer qu’une réduction de la production de blé commencera aux États-Unis le mois prochain. L'USDA fait également une estimation pour la zone l'année prochaine et des attentes pour l'Europe, entre autres. Le marché des céréales suit actuellement avec grand intérêt la situation en Europe. Selon de nouveaux chiffres, 5 % des superficies de blé prévues en France et au Royaume-Uni ne sont pas ensemencées en raison des mauvaises conditions météorologiques.
On estime que la production de blé en Australie, au Canada et en Argentine est inférieure. La production et les exportations de la Russie sont revues à la hausse d'un demi-million de tonnes, ce qui soulève des questions sur le marché compte tenu de la lenteur des exportations et des prix record du blé.
Sécheresse en Amérique du Sud
Un autre point d’entrée pour les fluctuations du marché est la situation en Amérique du Sud. La sécheresse en Argentine en particulier laisse présager une baisse de la production de maïs. Les commerçants s’attendent à ce qu’en raison de la saisonnalité, les prix du maïs augmentent légèrement. Les prix du soja sont principalement soumis aux problèmes commerciaux politiques entre les États-Unis et la Chine.
Outre une superficie réduite en blé d'hiver, le marché européen du blé peut compter sur des exportations positives. Les résultats des appels d'offres égyptiens du GASC montrent que deux acteurs français sont en compétition pour les prix. Le blé russe est compétitif en partie grâce à la baisse des coûts de transport. Le volume des exportations européennes de blé cette saison est supérieur d'un tiers à la moyenne sur trois ans