Le système d'enregistrement des terres agricoles doit être aboli. C'est ce que écrit l'Association des locataires et des utilisateurs de leurs propres terres (BLHB) dans une lettre adressée au secrétaire d'État Raymond Knops (Affaires intérieures). L'association estime que la politique relative aux terres agricoles du gouvernement devrait se concentrer davantage sur l'amélioration de la structure agricole.
Les terres agricoles du gouvernement sont considérées comme un objet d'investissement depuis 2010. Les rendements sont devenus leaders. Le BLHB rapporte que des inscriptions s'organisent donc, mais cela conduit à des loyers absurdement élevés et à une surexploitation des terres.
Gestion durable des sols
La politique du gouvernement se concentre sur la gestion durable des sols. "Cependant, en raison de l'émission de contrats de location à court terme et coûteux, cela ne peut pas être réalisé et le développement de l'entreprise agricole est entravé", a indiqué l'association dans sa lettre. Selon le BLHB, cela entraîne des fluctuations dans la taille des exploitations, ce qui ne contribue pas à la stabilité des agriculteurs.
Dans sa lettre, le BLHB évoque également un autre effet de l'immatriculation sur les terres agricoles. À savoir que, en partie en raison de la taille des terrains proposés, seules les entreprises (propriétaires) les plus fortes et souvent les plus grandes peuvent s'inscrire.
Polders de l'IJsselmeer
Selon l'association, ce qui précède se situe principalement dans les polders de l'IJsselmeer, où l'Agence immobilière du gouvernement central (RVB) exerce une influence majeure. En tant qu'unique propriétaire du terrain, l'autorité a déterminé le développement des affaires dans cette zone, laissant une marque durable sur le marché foncier actuel. Par exemple, des réglementations sur les plans de construction sont utilisées, ce qui exclut les entreprises proposant des cultures innovantes.
Le BLHB a une attitude critique à l'égard de la politique foncière agricole du gouvernement et souhaite donc que cette politique soit révisée. La manière dont l'Agence immobilière du gouvernement central gère l'agriculteur individuel est également un point d'attention. "Cela se caractérise par une passivité, une mauvaise accessibilité et un manque d'implication", écrit l'association.
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