Les terres agricoles utilisées pour les panneaux solaires sont une question épineuse. Les organisations agricoles et les gouvernements n'en sont souvent pas satisfaits, car ce terrain devrait être le dernier terrain sur lequel des panneaux solaires devraient être installés. Du moins, c'est ce qu'on prétend.
Mardi 19 juin, le ministre Eric Wiebes (Affaires économiques et Climat) a également abordé le sujet ci-dessus dans une lettre à la Chambre des représentants. Mais quels sont les inconvénients des fermes solaires ?
1. Des montants disproportionnellement élevés sont payés par hectare
Les agriculteurs perçoivent parfois jusqu'à 8.000 4.000 € par hectare et par an pour la mise à disposition de leurs terres. Des montants de 6.000 XNUMX $ à XNUMX XNUMX $ par hectare par année seraient plus normaux. Les montants élevés sont principalement payés pour des emplacements favorables ; un exemple de ceci est un endroit où la connexion au réseau électrique est bonne. Cependant, ces prix ne sont pas proportionnels aux rendements normalement obtenus à l'hectare.
In la lettre au parlement Cependant, le ministre Wiebes déclare que les agriculteurs disposant de fermes solaires ne sont pas surcompensés. Selon le ministre, c'est une question d'offre et de demande et il est logique que les frais soient plus élevés si la localisation est plus favorable.
2. Concurrence déloyale utilisant l'argent des contribuables
Les montants élevés payés pour les fermes solaires sont en partie financés par des subventions gouvernementales. Si ces montants augmentent, les coûts de la transition énergétique augmenteront également. Les subventions sont de toute façon une question délicate, car les agriculteurs reçoivent les sommes d'argent promises à plus long terme. Cependant, il peut aussi arriver un moment où les subventions seront fortement inversées.
C'est le cas en Chine. Là, la politique sur les parcs solaires a été inversée, car leur croissance était hors de contrôle. Les subventions substantielles qui ont été accordées sont maintenant réduites ou ne sont pas accordées du tout. Il reste à voir si les montants promis pourront être réalisés lorsque les subventions aux Pays-Bas seront réduites.
3. Ils peuvent causer une pollution de l'environnement et des sols
D'un Recherche allemande il s'avère que les panneaux solaires (à cause de la pluie) peuvent lixivier des métaux toxiques et lourds dans le sol ; des exemples de ceux-ci sont le cuivre, le cadmium, le plomb et l'étain. Cela pourrait entraîner une contamination du sol, ce qui n'est certainement pas souhaitable sur les terres agricoles. Ce qui est étrange, c'est que les règles européennes s'appliquent à cela, mais que les panneaux solaires en sont exemptés. La recherche susmentionnée porte sur des panneaux solaires coupés en morceaux et ne dit donc pas nécessairement quoi que ce soit sur des panneaux complets. Néanmoins, il est mentionné que des dommages aux panneaux solaires peuvent provoquer ce lessivage. L'étanchéité des panneaux doit également rester intacte et le recyclage doit être fait correctement. La plupart des fournisseurs néerlandais de panneaux solaires en sont responsables, mais c'est une autre histoire pour les fournisseurs étrangers.
4. Le réseau électrique ne peut pas gérer les nouvelles demandes
Dans le nord du pays en particulier, le problème est que le réseau électrique n'a pas une capacité suffisante pour accueillir de nouvelles applications. Par exemple, la Financieele Dagblad a rapporté que l'opérateur de réseau Liander en Frise reçoit tellement de demandes (pour le raccordement de nouveaux parcs solaires) que seulement 10 % d'entre elles peuvent être honorées.
Plus de direction du gouvernement est nécessaire pour résoudre le problème, dit Liander. Cependant, il ressort de la lettre au Parlement du ministre Wiebes qu'il souhaite attendre le nouvel accord sur le climat avec les orientations du gouvernement.
5. Cela fait grimper le prix des terrains
La terre est recherchée et rare à la fois. Si beaucoup de terres sont également occupées par des fermes solaires, l'offre diminuera et le hausse du prix des terrains† Cependant, divers courtiers du nord du pays ne remarquent pas immédiatement l'effet de cela. Hans Peters, président de VBO Makelaar, dit que vous le remarquerez tôt ou tard. "Les objectifs énergétiques doivent être atteints, il est donc impossible d'empêcher que de plus en plus de terres soient utilisées à ces fins."
Le ministre Wiebes voit également le risque d'une hausse du prix des terrains. Il craint surtout les conséquences que cela aura pour les jeunes agriculteurs. Wiebes veut donc des cadres sans ambiguïté pour guider les intérêts des porteurs de projets et des agriculteurs.
Avec précaution
Plusieurs dangers guettent donc. Il y a bien sûr d'autres inconvénients à mentionner, comme la défiguration du paysage. La recommandation du ministère, qui stipule que les autres bâtiments doivent d'abord être remplis de panneaux solaires, avant que les terres agricoles ne soient utilisées, n'est donc pas surprenante. Il est également sage de ne pas agir trop vite, car une fois les panneaux solaires en place, vous ne les retirerez pas aussi vite.
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Pourquoi ne devrions-nous pas placer les parcs solaires dans des réserves naturelles, il y a beaucoup d'espaces ouverts disponibles. Ces zones appartiennent souvent à de grands propriétaires fonciers tels que Natuurmonumenten et Gelderslandschap et/ou à des particuliers, etc., ils reçoivent déjà énormément d'argent chaque année en subventions pour lesquelles ils ne font rien. Ils devraient être tenus de mettre un pourcentage de leur surface à la disposition des capteurs solaires, et ils peuvent les placer là où personne ne les voit jamais, sauf du haut des airs. De cette façon nous ne perdons pas de terres agricoles, nous perdons déjà 8000 ha par an. à la construction urbaine et routière, etc. Ça doit être fini avec cette thésaurisation, un agriculteur a besoin de terre pour sa survie.
Pourquoi ne devrions-nous pas placer les parcs solaires dans des réserves naturelles, il y a beaucoup d'espaces ouverts disponibles. Ces zones appartiennent souvent à de grands propriétaires fonciers tels que Natuurmonumenten et Gelderslandschap et/ou à des particuliers, etc., ils reçoivent déjà énormément d'argent chaque année en subventions pour lesquelles ils ne font rien. Ils devraient être tenus de mettre un pourcentage de leur surface à la disposition des capteurs solaires, et ils peuvent les placer là où personne ne les voit jamais, sauf du haut des airs. De cette façon nous ne perdons pas de terres agricoles, nous perdons déjà 8000 ha par an. à la construction urbaine et routière, etc. Ça doit être fini avec cette thésaurisation, un agriculteur a besoin de terre pour sa survie.