Le commerce du maïs ensilé ne peut pas être qualifié de passionnant, mais cela ne change rien au fait qu’aucun commerce n’a lieu. Une ambiance similaire est visible au marché de la paille. De plus, les réserves limitées de maïs dans le sud sont renforcées par les départs à la retraite des producteurs laitiers. Une analyse du marché de l'alimentation animale.
Il est particulièrement calme sur le marché des aliments liquides. Dans le sens où les prix évoluent à un niveau stable au cours des premières semaines de janvier. On s’attend à ce que des réductions de prix se produisent cet hiver, mais ce n’est pas encore le cas au cours de la semaine 3. Le prix du mélange DB, un mélange d'amidon de blé et de pommes de terre pré-frites, est augmenté de 10 cents par pour cent de matière sèche par le fournisseur Duynie, mais c'est tout.
L’ambiance est en train de changer sur le marché du fourrage grossier. Alors qu’un commerçant parle d’échanges très lents, l’autre s’en sort plutôt bien. Le prix du maïs ensilage varie entre 55 et 60 euros la tonne, selon la distance parcourue. Dans le sud, le « prix camion » de base est de 50 euros la tonne. Peut-être que le marché peut procéder à une légère augmentation des prix, mais nous n'allons pas toucher aux 60 euros la tonne comme prix de base ce printemps, telle est notre attente. Dans le sud, de nombreuses tonnes d'agriculteurs issus d'agriculteurs retraités arrivent également sur le marché, ce qui compense quelque peu les pénuries.
Les producteurs laitiers qui achètent se limitent généralement à de petites livraisons d'environ 150 tonnes. Les marchandises de 300 à 400 tonnes appartiennent au passé, selon un commerçant du sud du pays. Il serait préférable d'avoir une charge légèrement inférieure une fois toutes les 6 semaines plutôt que de permettre aux producteurs laitiers de se couvrir pendant un trimestre entier, par exemple.
Sur le marché de la paille, ce sont les valeurs françaises qui contrecarrent la pression à la hausse sur les prix. La demande des producteurs de bulbes à fleurs stagne depuis décembre, tandis que celle des éleveurs de chevaux est également relativement calme. Même si l'on s'attend à ce que le prix puisse encore progresser, un prix variant entre 100 et 115 euros la tonne, gratuitement, se rapproche du haut de gamme. Les commerçants décrivent le comportement de paiement des producteurs laitiers comme étant essentiellement positif.
Le prix du maïs au Matif a rebondi dès la première semaine à 1 euros la tonne, puis est retombé à 174,50 euros lundi. La reprise s'explique principalement par le passage du prix au contrat de mars. Au niveau actuel des prix, le marché est plus ou moins au plus bas. Le prix du soja sur la CBoT à Chicago est plus fluctuant. En raison de l'incertitude concernant la demande chinoise, le prix a chuté rapidement au cours des dernières semaines de décembre, mais une tendance à la hausse a repris. Hier, le prix a de nouveau clôturé en hausse à 167,50 dollars la tonne, en raison de fortes pluies en Argentine.